Daniel Cardinal Blog
samedi 4 novembre 2017
mardi 20 décembre 2016
L'hiver des vacances gay à Puerto Vallarta en appartement.
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vendredi 21 octobre 2016
Dommage que chaque vote des électeurs ne compte pas pour notre démocratie.
Justin Trudeau nous a trompés
Source: 21 octobre 2016 | Jean-Pierre Charbonneau - Ex-député du Parti québécois.
À l’invitation du Comité parlementaire sur la réforme électorale de la Chambre des communes, j’ai témoigné le 29 août dernier à Ottawa à titre d’ancien ministre de la Réforme des institutions démocratiques du Québec sur le projet de réforme du mode de scrutin fédéral lancé par Justin Trudeau lors de la campagne électorale de l’an dernier.
En lisant les propos du premier ministre du Canada dans Le Devoir de mercredi matin(« Une réforme électorale majeure est loin d’être garantie »), j’ai eu le sentiment très net d’avoir été trompé et que tous mes efforts, autant que ceux de centaines, sinon de milliers de personnes à travers le Canada ayant participé à l’exercice de la consultation publique, n’ont servi qu’à camoufler une intention de départ qui aujourd’hui est assez claire : ne pas donner suite à l’engagement électoral bidon (on le sait maintenant) de mettre au rancart notre vieux mode de scrutin que René Lévesque a déjà qualifié de démocratiquement infect.
Lors de mon témoignage, à une question posée sur ma perception sur la suite de cette promesse électorale, j’ai indiqué que je craignais que le premier ministre Trudeau ne nous fasse le même coup que le premier ministre Charest au Québec qui, après avoir promis à l’élection de 2003 l’abandon du mode de scrutin actuel, a finalement mis à la poubelle tous les efforts déployés pendant plusieurs années, y compris un rapport favorable du Directeur général des élections, à qui il avait refilé la patate chaude.
Normalement, il devrait être entendu que lorsque des chefs politiques promettent d’abandonner un vieux système pour un autre, c’est qu’ils ont acquis la conviction que le système à mettre au rancart est mauvais et qu’ils sont en mesure d’en faire la démonstration. Or, ni Justin Trudeau ni Jean Charest n’ont plaidé avec force, et surtout avec conviction contre le statu quo, et aucun n’a nommé comme ministre responsable une personne profondément acquise à la cause du changement et en mesure de faire le travail de plaidoyer convaincant auprès des citoyens.
Dans les deux cas, on a eu des premiers ministres ayant obtenu une confortable majorité parlementaire avec l’appui d’une minorité de la population et, aujourd’hui, l’un entend imiter l’autre et profiter encore et encore, avec un sans-gêne incroyable, des avantages partisans du statu quo.
Il y a dans le comportement et les propos de Justin Trudeau quelque chose de profondément méprisant pour les citoyens et de toxique pour le respect que ces derniers devraient avoir pour la démocratie représentative. Renier avec désinvolture la parole donnée et donner l’impression qu’on le fait avec l’appui de la population revient à accréditer une fois de plus la thèse du nouveau sénateur André Pratte qui, avant sa carrière d’éditorialiste, avait publié un essai sur le mensonge en politique, Le syndrome de Pinocchio, dans lequel l’auteur dénonçait la complaisance du public et des médias qui a permis à la classe politique de développer une dépendance compulsive au mensonge, laquelle dépendance met en péril les fondements mêmes de la démocratie et est — sauf de rares exceptions — toujours condamnable.
Est-il trop tard pour sauver le peu de crédibilité qu’il reste aux politiciens ?, se demandait il y a 20 ans André Pratte. Je ne sais pas ce que pense ce dernier de celui qui l’a nommé récemment sénateur. J’ose espérer qu’il réagira lui aussi avec vigueur à cette nouvelle tromperie politique venue du sommet de la hiérarchie gouvernementale du pays.
mercredi 22 juin 2016
Des Vagues de chaleurs et d'air arctiques plus fréquentes
https://global-climat.com/tag/arctique/
Depuis les années 1970, l’Arctique s’est considérablement réchauffé, surtout depuis le début du 21è siècle. La notion d’amplification arctique fait référence à ce rythme plus rapide du réchauffement dans l’Arctique par rapport aux régions situées plus au sud. Le phénomène est favorisé par la perte de glace importante qui a eu lieu ces 20 dernières années dans le grand nord.
Le rythme du réchauffement de l’Arctique n’est cependant pas linéaire. La nouvelle étude publiée dans Nature Climate Change permet peut-être d’expliquer pourquoi l’extrême nord est soumis à ces variations.
D’après Jennifer Francis et James Screen, les deux auteurs de l’étude, les observations et les modèles climatiques pointent vers une conclusion sans équivoque : le réchauffement de l’Arctique est plus important pendant une PDO négative que lors d’une PDO positive, même en réponse à une perte de glace identique. Le bon accord entre les observations et les modélisations a permis aux deux scientifiques de mener une série de tests pour connaître les véritables causes des variations climatiques.
Cet effet accélérateur de la PDO négative est particulièrement significatif au centre de l’Arctique et au nord des régions où la perte de la perte de glace est observée en hiver. Pour Francis et Screen, cela montre que le réchauffement n’est pas dû aux flux thermiques en surface liés à la perte de glace de mer. Le phénomène s’explique plutôt par l’arrivée d’un air chaud et humide en lien avec les modifications de la circulation atmosphérique propres à l’oscillation décennale du Pacifique.
L’effet est donc indirect : la PDO négative favorise des vents du sud qui apportent l’air chaud des régions où la glace fond vers le centre de l’Arctique.
La découverte du rôle d’accélérateur joué par l’oscillation décennale du Pacifique va permettre de mieux comprendre le système climatique. Car l’amplification arctique a elle-même des effets sur les moyennes latitudes. Jennifer Francis et d’autres scientifiques ont montré lors de précédentes études que le réchauffement de l’Arctique et la fonte de la glace de mer pouvaient favoriser les vagues de froid comme celles qui ont été observées ces dernières années en Europe et en Amérique du Nord. L’une des raisons majeures du phénomènes est l’affaiblissement des vents d’ouest de haute altitude : le jet stream tend à onduler davantage lorsque le gradient de température se réduit entre les pôles et les moyennes latitudes.
mardi 21 juin 2016
mercredi 22 mai 2013
Le prince de la forêt.
Le
Prince de la forêt
par Daniel Cardinal
Toute la flore admirait sa puissance, il était déjà sûr de lui malgré son jeune âge. Il est maintenant devenu mon ami, encore là, la semaine dernière lorsque Jörg Stephan ce botaniste allemand m’avait transplanté dans cette forêt mystérieuse et étrange, Le chêne, mon nouvel ami m’avait expliqué qu’ici dans cette forêt pour survivre, il faut être fait fort, confiant et que nous devons se servir de tout les éléments de la nature ambiante. Lui, qui a à peine quelques ans de plus que moi et pourtant, il est déjà si fort, mais tellement touchant, attachant malgré une maturité naissante. Il a le cœur enraciné dans cette terre qui est la sienne, il contrôle déjà son environnement pour survivre, mais il est tout de même généreux avec ses voisins. Il laisse les autres plantes, arbustes habiter son terrain et se protéger contre les éclats de mère nature. Les arbustes , des écureuils et maintenant moi petit érable du canada cohabitons dans son secteur. Il comprenait bien que pour atteindre sa pleine maturité, il devait laisser le cercle de la vie fonctionner autour de lui. De cette manière, il arriverait à contrôler cet univers qui deviendrait le sien. Il s’était créé un monde, une sorte de forêt enchantée et lui en était le prince.
Lorsque monsieur Stephan le botaniste m’avait transporté et planté au coté de cet magnifique arbre, du coin de l’œil je le guettais, mais lui depuis le tout début il m’avait remarqué, il avait vite comprit dans quelle situation précaire j’étais et que j’essayais déjà depuis Québec de survivre dans ce nouvel environnement instable. Monsieur Stephan c’était enfui de Versailles depuis que des événements de révolte se produisait dans le royaume de France, les jardins de la cours étaient saccagés et pillés autour du château, la France était à feu. Pourquoi tant de douleur? Aveuglément le peuple entrevoyais l’espoir d’un temps nouveau, mais pourtant tout n’étaient que mirage, leur soif d’être libre les avait aveuglé et la perception d’une tentative de démocratie au départ, qui se devait d’être libératrice était devenue une prison qui les avaient jeté dans une guerre injuste. Moi comme eux aussi j’avais tellement eu cette soif d’une nouvelle vie lorsque je fut planté au coté de lui, l'illusion aux travers d'émotions nouvelles m'avait aveuglé alors j'ai été blessées par des attentes envers cette nouvelle vie. Cette vie utopiques que je m'était inventé en rêve face à l'attirance que ce chêne me faisait ressentir. La réalité de l'injustice qui se perdurent dans l’indifférence totale des humains face aux autres à été pour une révélation totale. J’avais à peine réveillée en moi se sentiment euphorique qu'est l'amour, juste un petit début d'une compréhension des choses que la vie m’avait présenté à travers la cohabitation avec ce nouveau personnage mystique, ce prince, mon prince. Il allait devenir en quelques jours mon sauveur, ma raison de vivre, mais du moins aux fond de mes espoirs intérieurs. Je découvrais en moi une raison de survivre dans l’espoir d’enfin avoir trouver l’amour. Je le cherchais, désirais depuis mon tout jeune âge, au fond de moi j’avais toujours été orphelin de ce sentiment. Alors que je m’étais juré de ne jamais tomber dans ce piège de ce besoin qui me rendrait presque aveugle. Je me suis tout simplement laissé aller en me nourrissant de la bonté de ce beau et solide gaillard, mon amour! je me disait. Moi qui croyait qu’avec lui, nous passerions le reste de nos vies tout près ensemble à s’entraider afin de devenir plus grand et plus fort. Enfin de vivre un bonheur commun, malheureusement, je commençais à peine à réaliser que sans lui plus rien ne serait possible que le coup de massue arriva. Je dois me relever, foncer et prendre racine dans cette nouvelle terre. Il n’est plus là et à chaque levée du jour, cette soif d’amour ne sera pas comblée. C’était pour lui cet éphémère ami que j'avais survécu en silence et en lui exposant mes plus beaux atouts, mes jolies feuille l'odeur de ma sève. Lorsque cette souffrance apparue en moi par la perte récente de mon prince, malgré cela, il restera toujours dans mes racines un sentiment que ce rêve d'amour éternel entre nous à existé. Il y a près de deux ans de cela des hommes probablement venu des villages environnants que ceux j’avais vues lors de mon transport de France jusqu'à cette forêt. Ils sont venus à la recherche de cette matière que nous sommes le bois. Le chêne est toujours très recherché, moi heureusement, selon eux j'étais qu'un arbre sans attirance, une sous espèce, l'érable canadien n'était pas connus encore par ces assassins ...
La suite à venir très bientôt ...
samedi 11 mai 2013
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