samedi 30 mai 2009

Le baril de pétrole à 100 dollars d'ici 12 mois et à 200 dollars vers 2012

Noel 2012

Cette réalité risque bien d'arriver, en finir avec la société de consommation et la mondialisation...

source: François Cardinal, la Presse.ca


(Montréal) Jeff Rubin, en plus d'être l'un des économistes le plus en vue au pays, est un rebelle, comme le confirme sa récente démission de la CIBC, après 20 ans de service. La raison: la publication d'un livre sur l'imminence du prochain choc pétrolier, que la banque refusait de cautionner. Entrevue autour d'une prédiction... qui ne laissera personne indifférent.
Les vacances en Europe, les vins australiens, les fraises en hiver, vous devrez bientôt faire une croix sur ces petits plaisirs ainsi que sur vos longs trajets quotidiens en automobile, si l'on se fie à l'ancien économiste en chef de la CIBC, Jeff Rubin.
Celui qui avait prédit, contre vents et scepticisme, la hausse spectaculaire du prix du pétrole l'an dernier, prévoit cette fois que le baril s'échangera à plus de 200$ d'ici un peu plus d'un an. Si ce n'est plus tôt.

Résultat: le prix de l'essence dépassera les 2$ le litre, nos habitudes quotidiennes seront complètement bouleversées... et la mondialisation ne sera plus qu'histoire ancienne, conclut-il dans un livre coup-de-poing publié ces jours-ci, Why Your World Is About to Get a Whole Lot Smaller.
«Aujourd'hui, en plein milieu de la pire crise des 60 dernières années, le baril s'échange à un peu plus de 60$... Pas besoin d'un diplôme en économie pour imaginer combien il coûtera quand la récession sera finie, quand les gens retrouveront un emploi, quand ils recommenceront à conduire...»
À combien, justement? À 100$ dans les 12 mois suivant une relance économique, puis à 200$ d'ici 2012, estime-t-il.
Certes, la prédiction peut faire sourciller, venant d'un homme reconnu pour sa flamboyance et ses opinions tranchées. Mais elle est partagée par d'autres experts qui croient comme lui que la crise financière, qui se traduit actuellement par une baisse des investissements pétroliers, prépare le terrain pour de «futures brusques hausses des prix», selon les mots du numéro deux du Fonds monétaire international (FMI), John Lipsky.
Alors qu'ils dépassaient les 147$ en juillet dernier, qu'ils ont chuté à un peu plus de 32$ en décembre, les cours du pétrole dépassent aujourd'hui les 60$. «Il y a quatre ou cinq ans, observe Jeff Rubin, un tel prix aurait été considéré comme un record de tous les temps. Aujourd'hui, rien de plus normal...»
La fin du pétrole
Jeff Rubin est un disciple de la théorie du pic pétrolier (la production mondiale de pétrole atteindra son apogée puis amorcera un inévitable déclin) depuis un voyage en Irlande, en 2000. Il a alors discuté avec l'auteur de l'essai The Coming Oil Crisis, le géologue Colin Campbell, une rencontre qui ne l'a pas autant convaincu de l'épuisement du pétrole... que de l'épuisement du pétrole bon marché.
Or tout, souligne-t-il, de notre alimentation à notre lieu de résidence en passant par nos loisirs de tous les jours, est basé, précisément, sur le pétrole abordable.
«La raison pour laquelle l'économie mondiale a mis tous ses oeufs dans le même panier est simple, écrit-il dans son essai, il n'existe pas d'autre panier.»
D'où sa prédiction: l'économie s'apprête à vivre un choc historique, qui nous ramènera collectivement là où nous étions dans les années 60.
«Le monde sera de plus en plus petit, explique-t-il. Nous nous rapprocherons de nos communautés. Les identités régionales redeviendront importantes. Les industries du passé renaîtront de leurs cendres. L'économie de service sera remplacée par une économie de manufactures, de production.»
Le pétrole sera si cher, ajoute-t-il, que les cargos cesseront de faire l'aller-retour vers la Chine, les gens se rapprocheront de leur lieu de travail, ils quitteront les couronnes pour la ville, ils n'auront plus les moyens de traverser l'océan ni de consommer des poissons provenant de Norvège, etc.
«Aussi, au cours des 10 prochaines années, pas moins de 20% des voitures devraient disparaître des routes, prédit-il. Regardez l'autoroute Décarie et imaginez la disparition d'une auto sur cinq... La question se posera alors: y aura-t-il suffisamment d'autobus pour accueillir tous ces gens?»
Cela dit, Jeff Rubin ne croit pas que tout cela soit une mauvaise nouvelle en soi. Nos vies seront plus simples, mais aussi plus ancrées dans leur milieu, dans leur environnement. Elles ressembleront, en fait, à la vie des Européens, illustre-t-il, qui roulent depuis longtemps avec de petites voitures, résident dans d'étroits logements et se déplacent en train.
Ajoutons à cela les bénéfices qui accompagneront à son avis ce bouleversement, que ce soit le retour des usines et des manufactures au Canada, la renaissance de l'industrie de l'acier ou le renouveau agricole.
«En fait, les contrecoups, ce sont davantage les populations du Sud qui les vivront, en raison de la fin des exportations. Quand l'Occident se serre la ceinture, il étrangle habituellement les pays du tiers-monde», observe-t-il.

Qui est Jeff Rubin?

Né en août 1954, Jeff Rubin a grandi à North York, en Ontario. Diplômé des universités de Toronto et McGill, il a commencé sa carrière dans les années 80 au sein du ministère ontarien des Finances. Recruté par Wood Gundy en 1988, il est employé de CIBC Marchés mondiaux depuis la fusion des deux entreprises. En 1989, il fait sa première prédiction controversée: les prix de l'immobilier chuteront de 25% à Toronto, lance-t-il juste avant que le marché ne s'effondre effectivement. Une dizaine d'années plus tard, il annonce à un parterre de pétroliers albertains incrédules que le prix du baril dépassera bientôt les 100$, faisant mouche encore une fois.

lundi 25 mai 2009

Une télécabine entre le Vieux Montréal et St-Lambert

Ce projet est très ambitieux et serait utile et écologique comme moyen de transport entre la rive-sud et Montréal, dommage que le gouvernement fédéral n'a pas encore appuyé l' entreprise, il faut croire que nuire au développement de Montréal est leur priorité du coté d'Ottawa...


La Société du Vieux-Port, organisme fédéral fait obstacle au projet de 100 millions

Un projet de 100 millions de dollars, entièrement financé par des intérêts privés, prévoit de relier le Vieux-Port de Montréal, le parc Jean-Drapeau et la ville de Saint-Lambert grâce à un système de télécabines qui passerait au-dessus du Saint-Laurent. Un nouveau moyen de transport écologique entre Montréal et la Rive-Sud qui serait également une attraction touristique, selon les promoteurs montréalais.

Ce projet, piloté depuis un an par l'entreprise Skylink Télécabines, a pris de la vitesse depuis décembre dernier. Les appuis importants se sont multipliés, et le projet a été bonifié pour répondre aux impératifs patrimoniaux et financiers du Vieux-Port de Montréal. De plus, le 4 mai dernier, la Ville de Montréal a formé un comité spécial pour analyser le projet. Un avis devrait être transmis au comité exécutif dans les prochaines semaines. La Ville décidera ensuite si elle appuie publiquement le projet. «C'est un projet sérieux qui mérite sérieusement d'être étudié. À première vue, c'est sympathique, mais je ne veux rien déclarer de plus. J'attends les analyses», a affirmé au Devoir André Lavallée, responsable des transports à la Ville de Montréal. Aussi important soit l'avis de la Ville, cette dernière n'a pas le dernier mot, puisque le projet prévoit de s'installer sur des terres fédérales, dans le Vieux-Port, où l'on a actuellement des réserves sur celui-ci.
Un trajet de 10 minutes.
La compagnie Skylink a été fondée par les Montréalais Niels et Jeff Jorgensen, qui ont fait fortune dans le secteur maritime avec l'entreprise Lastra North America. Leur nouveau dada: les télécabines urbaines, un système par câbles et pylônes qui ressemble aux cabines vitrées des téléfériques que l'on trouve sur certains monts de ski. La compagnie souhaite dans un premier temps relier le Vieux-Port de Montréal au parc Jean-Drapeau, avec des arrêts à l'île Sainte-Hélène et à l'île Notre-Dame. La deuxième phase prévoit de surplomber la voie maritime du Saint-Laurent jusqu'à Saint-Lambert, sur la Rive-Sud. Les Jorgensen sont appuyés par des firmes internationales, notamment Doppelmayer -- qui a construit 13 000 télécabines dans 78 pays -- et la firme suisse d'ingénieurs Paul Glassey. Doppelmayer a son siège social canadien à Saint-Jérôme.
Les 100 millions de dollars nécessaires au projet seraient financés par des intérêts privés. Aucuns fonds publics ne sont demandés. Selon Skylink, le projet pourrait être terminé 18 mois après le feu vert des autorités. Selon les études de marché effectuées par Skylink et dont Le Devoir a obtenu copie, une moyenne de près de 3000 personnes par heure (soit le départ d'une télécabine toutes les 20 secondes) utiliseraient ce moyen de transport, offert 12 mois sur 12. Le trajet durerait 10 minutes. Joint en Suisse, l'ingénieur Paul Glassey explique que les gens s'approprient rapidement ce type de transport. Son bureau a construit plusieurs télécabines urbaines dans le monde. «À Constantine, en Algérie, les télécabines fonctionnent depuis décembre dernier et en trois mois, ils ont eu cinq millions de passages. C'est beaucoup plus agréable que l'auto ou l'autobus, alors les gens réorganisent leurs trajets afin d'en profiter pour aller au travail», dit-il. Selon lui, le projet de Montréal est prometteur. «Généralement, les télécabines sont soit utilisées pour du transport urbain, comme en Algérie, ou pour des raisons touristiques, comme dans les centres de ski. Un projet qui combine les deux, comme à Montréal, c'est très rare», dit-il, lui qui est venu trois fois à Montréal pour mener les études de faisabilité. Des appuis De fait, les appuis se sont multipliés dans les derniers mois. Le parc Jean-Drapeau, la Ville de Saint-Lambert, le Créneau d'excellence en transport terrestre avancé, la Société de développement commercial du Vieux-Montréal, Vélo Québec, Destination Centre-Ville, l'Association des hôtels du Grand Montréal et l'Association des gens d'affaires de Saint-Lambert ont tous appuyé le projet. Au parc Jean-Drapeau, on ne tarit pas d'éloges. «Pour nous, c'est clair que c'est intéressant, affirme Nathalie Lessard, porte-parole de la société paramunicipale.
C'est à la fois une attraction touristique et un moyen de transport vert.» Elle ajoute: «Cent millions de dollars de fonds privés, en pleine récession, c'est assez rare! Il faut en profiter». À la Ville de Saint-Lambert, on se dit «très intéressés» par le projet. Mais pour que les télécabines se rendent jusqu'à la Rive-Sud, Skylink veut que le stationnement incitatif le long de la route 132 soit agrandi. Il devrait passer de 500 à 1500 places. Skylink propose un stationnement à étages pour ne pas empiéter sur le parc situé à côté. Une étude de faisabilité serait toutefois nécessaire pour agrandir le stationnement, indique la Ville. «C'est très positif comme idée. Ce n'est pas nous le plus gros obstacle au projet», dit Michèle Lortie, directrice générale de la Ville de Saint-Lambert. Un obstacle En effet, la clé de voûte pour lancer le projet se trouve du côté de la Société du Vieux-Port de Montréal, une entité fédérale qui contrôle plusieurs quais et un grand espace dans ce lieu touristique. Jugeant le projet «trop préliminaire» l'été dernier, la Société du Vieux-Port a rejeté l'idée de Skylink.
L'entreprise montréalaise a toutefois modifié substantiellement son projet pour l'adapter aux voeux de la société d'État. Skylink a notamment proposé de louer le terrain de 1500 mètres carrés dont elle a besoin au même taux que le Cirque du Soleil, qui s'installe chaque été sur un quai du Vieux-Port. Une redevance sur les produits dérivés (t-shirt, nourriture, etc.) a été proposée à la société fédérale. Pour rassurer les autorités, un montant serait mis en garantie, de sorte qu'en cas de faillite, les sommes nécessaires à la démolition des installations seraient disponibles. De plus, l'aspect patrimonial ferait l'objet d'une attention particulière pour minimiser l'impact des pylônes. Malgré ces changements, la Société du Vieux-Port a refusé d'analyser de nouveau le projet. Depuis deux semaines, le Vieux-Port n'a pas été en mesure d'expliquer au Devoir pourquoi ce projet est bloqué. Un porte-parole a d'abord soutenu que Skylink ne s'était pas manifesté depuis décembre, alors que des contacts par courriels ont eu lieu entre un représentant de l'entreprise et la directrice générale de la Société du Vieux-Port, Claude Benoît, en février et mars dernier.
«Pour nous, ce dossier n'est pas ouvert. Je n'ai rien à déclarer», a néanmoins soutenu Michel Rafie, directeur des communications du Vieux-Port.

dimanche 17 mai 2009

Une loi contre l'homophobie au Québec



Source: La Presse Canadienne Québec



La ministre québécoise de la Justice, Kathleen Weil, promet l'adoption d'une politique nationale de lutte contre l'homophobie d'ici la fin de l'année.
Profitant de la Journée internationale de lutte contre l'homophobie, en ce 17 mai, Mme Weil souligne qu'un comité interministériel travaille présentement à terminer l'élaboration de cette politique.
La ministre estime qu'en adoptant une telle politique, le Québec affirmera sa volonté de lutter contre la discrimination sous toutes ses formes et démontrera son attachement à une société inclusive et ouverte à la diversité.
De son coté, le président de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), Réjean Parent, blâme le gouvernement pour ne pas agir assez rapidement dans ce dossier.
Il rappelle que la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse, dans son rapport intitulé «De l'égalité juridique à l'égalité sociale», insiste depuis 2007 sur l'urgence de l'adoption d'une politique pour lutter contre l'homophobie et d'un plan d'action national.
Réjean Parent souligne que l'homophobie est malheureusement encore très présente au sein du réseau scolaire québécois.
Il rappelle que sa centrale a coordonné la mise en place de deux tables nationales de lutte contre l'homophobie. Ses membres font la promotion d'activités de sensibilisation au phénomène de l'homophobie et s'occupent de la distribution du matériel de la fondation Emergences afin que toutes les écoles et cégeps de la province soient couverts.
Les membres de ces deux instances collaborent également à une recherche-action, s'échelonnant de 2007 à 2010 sur l'impact de l'homophobie et de la violence homophobe sur la réussite scolaire.
Réjean Parent indique que la CSQ participera à la deuxième Conférence internationale sur les droits humains cet été au Danemark, dans le cadre des World Outgames.

vendredi 15 mai 2009

Remise en forme grace au cyclisme

Redevenir en forme est parfois difficile au printemps, le cyclisme est un exercice très efficace et voici un aperçu des actions sur les muscles de votre corp lors d'une randonnée.
À vos vélo!
Partez!!!

Trois bonnes raisons pour utiliser le vélo


lorsqu'il fait beau se déplacer à vélo en ville est très agréable et surtout pratique et en bonus vous brulez des calories.




Trois raisons pour le vélo en ville:







EFFICACE
Sur un parcours de moins de huit kilomètres, en milieu
urbain, le vélo s’avère généralement plus rapide que la
voiture et les transports en commun. Des heures
d’attente en auto et des gaz à effet de serre en moins.


ÉNERGISANT
Entre détente et exercice modéré, le vélo stimule votre
capacité de concentration et contribue à diminuer le stress.
De quoi être en forme pour votre journée de travail et faire
le plein d’énergie à moindre coût.


ÉCONOMIQUE
Trop souvent, qui pense déplacements pense voiture.
Pourtant, il y a bien d’autres façons de se rendre au travail.
À commencer par le vélo... Un moyen simple pour réduire
vos dépenses de transport.

mercredi 13 mai 2009

Controveste autour du port du voile au travail

Au Québec, nous sommes naifs et nonos quand qu'il est temps de faire respecter nos coutumes de libertés pour tous. Encore une fois un groupe de femmes se sont fait passer un sapin par des propagandeux piques, qui n'ont que comme but, de islamiser notre démocratie durement acquise et de asservir la liberté et les droits des femmes...




Sources: blog; 08:52 am, Richard Martineau / Franc-parler, canoe

"Comparaison boîteuse
Aujourd'hui, dans La Presse, la journaliste Michèle Ouimet dit que le voile islamiste est comme le crucifix ou le kippa.Euh...Vous connaissez des pays où les femmes sont emprisonnées et battues parce qu'elles ne portent pas de crucifix au cou?Vous connaissez des pays où les hommes sont emprisonnés et battus parce qu'ils ne portent pas le kippa?Ça suffit, la naïveté!"


Je suis tout à fait en accord avec M. Martineau sur cette fausse interprêtation du port du voile par les femmes musulmans, La pression des intégristes est telle et la peur des représailles font que ces femmes portent ce voile, tout comme les gaies de religion musulman sont trop souvent porté à se marier, afin de faire plaisir à leurs parents et familles... Comme dans une armée, rentre dans le rang et ferme ta gueule et vive la liberté de choix, enfin pendant qu'il nous en reste...

mardi 5 mai 2009

Comme la Sainte-Catherine, la rue Saint-Paul piétonisée

Bonne nouvelle la rue St-Paul dans le Vieux Montréal sera ouverte aux piétons cette été, diminuant enfin le va et viens irrespectueux des piétons qui envahis la rue de la commune et la piste de vélo l'été. Il sera plus facile pour les cyclistes d'emprunter cette rue et la piste pour se rendent au canal Lachine...

Le maire Tremblay qui dort au gaz, a manqué une belle occasion en laissant Benoit Labonté prendre cette très bonne initiative à sa place...

Source: La Presse

L'équipe du maire Tremblay vient de se faire couper l'herbe sous le pied par le maire Benoit Labonté avec son idée de piétonniser la rue Saint-Paul, dans le Vieux-Montréal. Après avoir planché sur le projet tout l'hiver, le maire de Ville-Marie et chef de l'opposition entend ouvrir la rue aux piétons dès cet été, de part et d'autre de la Place Jacques-Cartier, a appris La Presse.
Les élus de l'arrondissement de Ville-Marie seront appelés à se prononcer, ce soir, los du conseil mensuel, sur le projet pilote prévu pour s'échelonner du 17 juillet au 3 août prochain. Histoire d'en tester la popularité, l'ouverture de la rue s'effectuera d'abord sur un petit tronçon, délimité entre la rue du marché Bonsecours et Saint-Gabriel.
L'été dernier, dans la foulée de la piétonisation de Sainte-Catherine, pilotée par le maire Labonté, la ville-centre avait annoncé son intention de fermer à la circulation une portion de Saint-Paul. Mais devant la grogne des commerçants du Vieux-Montréal, l'administration Tremblay avait relayé le projet aux oubliettes.
Se montrant bon joueur, André Lavallée, responsable du plan de Transport au comité exécutif du maire de Montréal, a admis que le projet n'avait pas été mené à terme, l'an dernier, «pour des raisons politiques.»
«C'est un bon pas qui est en train de se réaliser, a dit M. Lavallée. Je pense que tous les élus, que ce soient de Union Montréal ou Vision Montréal, vont se rallier derrière le projet. Et je pense que les gens vont embarquer. Dans toutes les grandes villes du monde, que ce soit à Stockholm ou même sur Broadway, à New York, il y a un mouvement de piétonisation

dimanche 3 mai 2009

"Un milliard, soit une personne sur sept ont faim en 2009"

La faim de loup, la famine, mais quelles sont les causes???


Tous réunis devant un copieu repas, les dirigeants de la planête semblent nier l'existance du mot; Urgence!!!


URGENT !

Continent endetté recherche plan de relance salvateur et/ou investisseurs motivés pour contrer famine et guerres civiles. Trafiquants d'armes, pétroliers et dictateurs sanguinaires s'abstenir.

Ecrire à l'ONU qui transmettra.





Plus d’un milliard de personnes vont connaître la famine en 2009

Source: Hiram Lee, 22 avril 2009


Dans un rapport remis lundi dernier à l’occasion de la Conférence de Bangkok (Thaïlande) des Nations unies sur la politique alimentaire, Jacques Diouf, secrétaire général de la FAO (Organisme des Nations unies pour l’alimentation et pour l’agriculture) a averti que plus d’un milliard de personnes dans le monde connaîtront très probablement des problèmes de famine en 2009. Ce chiffre dépasse les 963 millions, soit d’après les prévisions de la FAO, autour d’une personne sur sept en 2009.

Diouf a souligné qu’alors que les prix des denrées agricoles de première nécessité comme le riz, le maïs, ou le blé ont baissé par rapport aux prix catastrophiques atteints en 2008, ils demeurent autour de 30 pour cent plus élevés qu’en 2005. La semaine dernière, dans une interview donnée au Financial Times, Diouf a soutenu que la crise alimentaire n'est pas terminée.
Les prix actuels constituent déjà une énorme charge pour les pauvres et pour la classe ouvrière de par le monde. Diouf a prévenu que les prix pourraient une nouvelle fois être au niveau de ceux de 2007 et de 2008 suite à l’absence de crédits actuellement accordés aux agriculteurs, ce qui a nui à leur production et à leur capacité de production et de développement.

En 2007 et en 2008, le prix du maïs a augmenté de 31 pour cent, celui du riz de 74 pour cent, celui du soja de 87 pour cent et celui du blé de 130 pour cent. L’incapacité d’un grand nombre de personnes à accéder dans ces circonstances à des produits alimentaires basiques a provoqué des troubles au niveau mondial et des émeutes de la faim ont éclaté dans pas moins de 30 pays.

samedi 2 mai 2009

Reconstruction la station de métro St-Laurent

Cette station de métro est tellement laide et peu sécuritaire, lui confier une vocation nouvelle qui serait relié au cinéma est une idée qui peut pas être pire que sa réputation de station de la "main street" avec ces putes, il est toujours gênant de sortir à cette station, j'ai toujours l'impression que les gens qui nous regardent sortir du métro croient que nous allons dans ce secteur à cause de sa réputation relié au sexe...


Une station de métro consacrée au cinéma?
Source: Daphné Cameron
La Presse
La formule métro, boulot, dodo pourrait devenir beaucoup plus divertissante grâce à la réalisation du Quartier des spectacles.Le cofondateur du Cinéma Parallèle et du Festival du nouveau cinéma, Claude Chamberlan, rêve de faire de la station Saint-Laurent un endroit consacré au septième art.L'idée a été lancée le 14 avril, lors d'une assemblée de consultation publique portant sur trois projets du Quartier des spectacles. L'un d'entre eux est la création d'un complexe culturel situé sur le terrain du métro Saint-Laurent, qui abritera cinq à sept salles du nouveau Cinéma Parallèle.«Tant qu'à refaire le métro, pourquoi ne pas le transformer pour rendre hommage au cinéma d'ici et d'ailleurs», propose Claude Chamberlan.La vision du cinéphile - «qui est encore au stade embryonnaire» - serait à l'image de la station du Louvre à Paris où les passagers peuvent admirer des oeuvres du musée.En plus d'expositions sur le cinéma, Claude Chamberlan suggère de transformer le métro en immense salle de projection où les murs seraient recouverts d'écrans numériques et de diffuser des courts métrages dans des voitures qui circulent sur la ligne verte.«Il y a mille et une possibilités! s'enthousiasme Claude Chamberlan. J'ai déjà reçu un accueil très favorable de la part du milieu artistique et même de politiciens. On veut que Montréal soit une capitale culturelle alors il faut que ça bouge... J'ai proposé l'idée, j'espère maintenant qu'elle sera reprise par les institutions et les promoteurs.»