mardi 20 décembre 2016

L'hiver des vacances gay à Puerto Vallarta en appartement.

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vendredi 21 octobre 2016

Dommage que chaque vote des électeurs ne compte pas pour notre démocratie.

Il est désolant de constater que la réforme électorale ne sera pas modifié pour un autre 4 ans au Canada.  Une autre promesse électorale en l'air. 


IDÉES — RÉFORME ÉLECTORALE

Justin Trudeau nous a trompés

Source: 21 octobre 2016 | Jean-Pierre Charbonneau - Ex-député du Parti québécois.


À l’invitation du Comité parlementaire sur la réforme électorale de la Chambre des communes, j’ai témoigné le 29 août dernier à Ottawa à titre d’ancien ministre de la Réforme des institutions démocratiques du Québec sur le projet de réforme du mode de scrutin fédéral lancé par Justin Trudeau lors de la campagne électorale de l’an dernier.
 
En lisant les propos du premier ministre du Canada dans Le Devoir de mercredi matin(« Une réforme électorale majeure est loin d’être garantie »), j’ai eu le sentiment très net d’avoir été trompé et que tous mes efforts, autant que ceux de centaines, sinon de milliers de personnes à travers le Canada ayant participé à l’exercice de la consultation publique, n’ont servi qu’à camoufler une intention de départ qui aujourd’hui est assez claire : ne pas donner suite à l’engagement électoral bidon (on le sait maintenant) de mettre au rancart notre vieux mode de scrutin que René Lévesque a déjà qualifié de démocratiquement infect.
 
Lors de mon témoignage, à une question posée sur ma perception sur la suite de cette promesse électorale, j’ai indiqué que je craignais que le premier ministre Trudeau ne nous fasse le même coup que le premier ministre Charest au Québec qui, après avoir promis à l’élection de 2003 l’abandon du mode de scrutin actuel, a finalement mis à la poubelle tous les efforts déployés pendant plusieurs années, y compris un rapport favorable du Directeur général des élections, à qui il avait refilé la patate chaude.
 
Normalement, il devrait être entendu que lorsque des chefs politiques promettent d’abandonner un vieux système pour un autre, c’est qu’ils ont acquis la conviction que le système à mettre au rancart est mauvais et qu’ils sont en mesure d’en faire la démonstration. Or, ni Justin Trudeau ni Jean Charest n’ont plaidé avec force, et surtout avec conviction contre le statu quo, et aucun n’a nommé comme ministre responsable une personne profondément acquise à la cause du changement et en mesure de faire le travail de plaidoyer convaincant auprès des citoyens.
 
Dans les deux cas, on a eu des premiers ministres ayant obtenu une confortable majorité parlementaire avec l’appui d’une minorité de la population et, aujourd’hui, l’un entend imiter l’autre et profiter encore et encore, avec un sans-gêne incroyable, des avantages partisans du statu quo.
 
Il y a dans le comportement et les propos de Justin Trudeau quelque chose de profondément méprisant pour les citoyens et de toxique pour le respect que ces derniers devraient avoir pour la démocratie représentative. Renier avec désinvolture la parole donnée et donner l’impression qu’on le fait avec l’appui de la population revient à accréditer une fois de plus la thèse du nouveau sénateur André Pratte qui, avant sa carrière d’éditorialiste, avait publié un essai sur le mensonge en politique, Le syndrome de Pinocchio, dans lequel l’auteur dénonçait la complaisance du public et des médias qui a permis à la classe politique de développer une dépendance compulsive au mensonge, laquelle dépendance met en péril les fondements mêmes de la démocratie et est — sauf de rares exceptions — toujours condamnable.
 
Est-il trop tard pour sauver le peu de crédibilité qu’il reste aux politiciens ?, se demandait il y a 20 ans André Pratte. Je ne sais pas ce que pense ce dernier de celui qui l’a nommé récemment sénateur. J’ose espérer qu’il réagira lui aussi avec vigueur à cette nouvelle tromperie politique venue du sommet de la hiérarchie gouvernementale du pays.

mercredi 22 juin 2016

Des Vagues de chaleurs et d'air arctiques plus fréquentes

Source: PAR  LE 
https://global-climat.com/tag/arctique/



Depuis les années 1970, l’Arctique s’est considérablement réchauffé, surtout depuis le début du 21è siècle. La notion d’amplification arctique fait référence à ce rythme plus rapide du réchauffement dans l’Arctique par rapport aux régions situées plus au sud. Le phénomène est favorisé par la perte de glace importante qui a eu lieu ces 20 dernières années dans le grand nord.
Le rythme du réchauffement de l’Arctique n’est cependant pas linéaire. La nouvelle étude publiée dans Nature Climate Change permet peut-être d’expliquer pourquoi l’extrême nord est soumis à ces variations.
D’après Jennifer Francis et James Screen, les deux auteurs de l’étude, les observations et les modèles climatiques pointent vers une conclusion sans équivoque : le réchauffement de l’Arctique est plus important pendant une PDO négative que lors d’une PDO positive, même en réponse à une perte de glace identique. Le bon accord entre les observations et les modélisations a permis aux deux scientifiques de mener une série de tests pour connaître les véritables causes des variations climatiques.
Cet effet accélérateur de la PDO négative est particulièrement significatif au centre de l’Arctique et au nord des régions où la perte de la perte de glace est observée en hiver. Pour Francis et Screen, cela montre que le réchauffement n’est pas dû aux flux thermiques en surface liés à la perte de glace de mer.  Le phénomène s’explique plutôt par l’arrivée d’un air chaud et humide en lien avec les modifications de la circulation atmosphérique propres à l’oscillation décennale du Pacifique.
L’effet est donc indirect : la PDO négative favorise des vents du sud qui apportent l’air chaud des régions où la glace fond vers le centre de l’Arctique.
La découverte du rôle d’accélérateur joué par l’oscillation décennale du Pacifique va permettre de mieux comprendre le système climatique. Car l’amplification arctique a elle-même des effets sur les moyennes latitudes. Jennifer Francis et d’autres scientifiques ont montré lors de précédentes études que le réchauffement de l’Arctique et la fonte de la  glace de mer pouvaient favoriser les vagues de froid comme celles qui ont été observées ces dernières années en Europe et en Amérique du Nord. L’une des raisons majeures du phénomènes est l’affaiblissement des vents d’ouest de haute altitude : le jet stream tend à onduler davantage lorsque le gradient de température se réduit entre les pôles et les moyennes latitudes.

mardi 21 juin 2016

Village gaie de Montréal


Une veillée aux chandelles à la mémoire des victimes de la fusillade d'Orlando s'est tenue à Montréal, jeudi soir.