lundi 27 avril 2009

L'épidémie risque fort bien de devenir la pire pandémie depuis la grippe espagnole

La grippe porcine est une menace réelle, un milliard d'humains sur six vont voyager d'ici un an, la propagation du virus est en cours et difficile à contrer. Les deux premières étapes d'action de nos gouvernements sont déjà du passé, la télé nous invite à se laver les mains et une surveillance précoce des voyageurs est présentement faite par les autorités. La prochaine étape sera l'annonce des mesures de santé à suivre...
Les 6 étapes d'actions planifiées pour contrer une pandémie au Canada

Une pandémie de grippe porcine inquiète les scientifiques depuis 1976. La pandémie de grippe la plus mortelle de l'histoire moderne a tué environ 40 millions de personnes dans le monde en 1918 et 1919. Deux autres, moins importantes, ont été enregistrées, en 1957 et 1968.

De la grippe espagnole (1918-1919) à la pandémie de demain, voici quelques chiffres qui faient réfléchir...


Grippe espagnole

Mortalité : 40 millions (1ère guerre mondiale : 13 millions).

France : 408.108 décès.

Etats-Unis : 550.000 décès

(plus de morts que la première, la seconde guerre mondiale, les guerres de Corée et du Vietnam).

Phase 1

Février 1918 , Canton ; puis camps militaires US

Avril 1918 : débarquement US à Bordeaux

Mai : épidémie France, Italie, Espagne


Phase 2

Octobre 1918 : Brest

Phase 3

Janvier 1919 : toute l’Europe était infesté

D'une extrême gravité

10 fois supérieure à celle de n’importe quel Myxovirus influenzae connu ; mortalité maximale dans la tranche 20-50 ans


50 % de la population terrestre fut infectée
Antérieurement ne circulaient que des virus H2N8 et H3N8 ; le nouveau virus H1N1 était totalement inconnu.

En 1918, les transports aériens étaient anecdotiques

Aujourd’hui : Tout point de la planète est accessible en moins de 24 h.


2005 : 1 milliard de personnes (1/6 de la population terrestre) ont effectué un voyage international.

Au 20 ème siècle, trois pandémies grippales meutrières :

1918 – 1919: 40 millions de morts sur la planête

1957 – 1958 : 98 000 morts aux Etats-Unis

1968 – 1969 : 50.000 morts aux Etats-Unis, 18.000 en France


1997: Hong Kong: A(H5N1); 18 contaminations humaines, 6 décès. En 3 jours, 1,5 million de volailles abattues


Février 2003: Hong Kong (H5N1): 3 cas, 1 décès

Février 2003: Hollande (H9N2): 83 cas, 1 décès


Janvier 2004: Vietnam (sud), H5N1. Depuis, 115 cas, 70 décès.


Le sras en 2003: 8000 morts et plus approximatif


La grippe porcine 2009: votre opinion S.V.P

dimanche 26 avril 2009

Risque d'une pandémie mondiale

La crainte d'une pandémie de grippe porcine progresse
Par Reuters, publié le 26/04/2009 à 23:09


MEXICO - La confirmation de nouveaux cas humains de grippe porcine aux Etats-Unis et l'apparition de la maladie au Canada a entretenu dimanche la crainte d'une vaste épidémie mondiale en provenance du Mexique, où le virus d'un nouveau genre a vraisemblablement fait 81 morts.

Dans une rue de Mexico. La confirmation de nouveaux cas humains de grippe porcine aux Etats-Unis et l'apparition de la maladie au Canada a entretenu dimanche la crainte d'une vaste épidémie mondiale en provenance du Mexique, où le virus d'un nouveau genre a vraisemblablement fait 81 morts. (Reuters/Eliana Aponte)
Les autorités américaines, qui ont décrété une alerte de santé publique, ont fait état de vingt malades. Six ont été signalés au Canada et plusieurs cas suspects sont à l'étude en Europe, notamment en France, et en Nouvelle-Zélande.
Selon le président mexicain Felipe Calderon, les deux tiers des 1.300 malades probablement atteints de la grippe porcine au Mexique vont bien et ont quitté l'hôpital.
Neuf cents ont été jugés en bonne santé et près de 400 sont actuellement soumis à des examens dans les hôpitaux du pays, a-t-il déclaré, à l'occasion d'une réunion avec les responsables des autorités sanitaires.

Michael Bloomberg, maire de New York, a quant à lui confirmé que huit écoliers de la ville étaient atteints, précisant que les symptômes étaient bénins. "Nous n'avons observé aucune augmentation ou aucun foyer suggérant une épidémie", a-t-il souligné.
Douze autres cas - sept en Californie, deux au Kansas, deux au Texas et un dans l'Ohio - ont été confirmés. Les autorités américaines insistent sur le fait qu'ils ne sont pas aussi graves que ceux du Mexique.
Elles recommandent toutefois d'établir un plan prévoyant la fermeture des établissements scolaires. Janet Napolitano, secrétaire à la sécurité intérieure, a en outre annoncé la mise à disposition d'un quart des stocks d'antiviraux Tamiflu et Relenza des laboratoires Roche et GlaxoSmithkline, qui se sont révélés efficaces contre la nouvelle souche.
"SOURCE D'INQUIÉTUDE INTERNATIONALE"
Au Canada, la présence du virus a été confirmé au même moment en Colombie Britannique, à l'Ouest, ou deux patients souffrent de grippe porcine, et en Nouvelle-Ecosse, à l'Est, qui compte quatre malades. Dix écoliers néo-zélandais de retour d'un voyage scolaire au Mexique ont probablement eux aussi contracté la grippe porcine.
En France, les autorités sanitaires faisaient état dimanche de quatre cas suspects, dont trois au sein d'une même famille dans le Nord, et le dernier en région parisienne. Deux autres cas suspects dans les régions de Bordeaux et Marseille ont été infirmés.
"La France est particulièrement préparée à faire face à une pandémie grippale", a déclaré la ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, lors de la première des conférences de presse quotidiennes annoncées par son ministère pour faire le point sur les mesures prises en France.
En Espagne, trois personnes de retour du Mexique ont été placées en observation.
L'Organisation mondiale de la Santé (OMS), qui considère l'épidémie de grippe porcine comme une "source d'inquiétude internationale", a appelé tous les Etats à une surveillance renforcée.
Mexico, mégapole de 20 millions d'habitants, avait dimanche des allures de ville morte. Les autorités ont décidé de fermer les écoles de la capitale, de sa périphérie et de l'Etat de San Luis Potosi jusqu'au 6 mai. Les bars, les musées et les églises sont également concernés et les rassemblements publics suspendus.
Felipe Calderon a promulgué un décret d'urgence qui accorde des prérogatives de contrôle étendues au gouvernement afin de combattre la propagation de ce virus.
"POTENTIEL PANDÉMIQUE"
Le virus serait proche de celui du porc, mais sous une forme jamais vue combinant de l'ADN typique des virus porcin, aviaire et humain. Sa transmission entre êtres humains fait redouter une grave épidémie en Amérique du Nord.
Le fait que la plupart des victimes mexicaines étaient en outre âgées de 25 à 45 ans constitue un autre facteur d'inquiétude. Les épidémies saisonnières de grippe peuvent être plus meurtrières parmi les très jeunes enfants et les vieillards, mais les pandémies affectent d'abord les jeunes adultes en bonne santé.

"Il s'agit à l'évidence d'une souche animale du virus H1N1 et cela a un potentiel pandémique parce que cela infecte les gens", a estimé samedi Margaret Chan, directrice générale de l'OMS.
Des experts internationaux de la santé publique se réuniront mardi pour déterminer s'il est nécessaire de relever le niveau d'alerte pandémique.
Le système d'alerte à la pandémie de l'OMS comprend six degrés. La phase d'alerte actuelle est de trois, ce qui correspond au premier échelon d'alerte pandémique, lorsqu'un nouveau virus affecte des humains, avec "pas ou très peu de transmission d'humains à humains".
La phase 4 correspond à une "transmission accrue d'humains à humains", la phase 5 à une "transmission importante" et la phase 6 à une "transmission soutenue".

mercredi 22 avril 2009

Mado, un succès fou à Paris

Le site web de têtu parle du passage de notre Mado nationale au Tango de paris, avis au parisien ou Québécois en vacance à Paris, il vous reste 3 soirées pour aller l'applaudir et rire...


Sources: Têtu


Mado, la garce du Québec, débarque à Paris
Par Antoine Mokrane dimanche 19 avril 2009, à 12h16

INTERVIEW. Le Tango accueille cette semaine la diva québécoise Mado, qui vient donner une leçon d'histoire sur les relations entre les deux pays cousins. Hervé, qui dirige l'établissement, nous présente le personnage.
TÊTU: Qui est exactement MADO?
une drag queen, un clown, une garce, les trois?
Hervé : Outre Atlantique on parle d’une Drag-Queen, ce qui ne signifie pas la même chose qu’à Paris. Mado est un personnage qui parle, chante, déblatère, bitche le public. Elle donne son avis sur tout. C’est avant tout une bête de scène.
Pourquoi l'avoir invitée à se produire à Paris?
Je suis tombé raide dingue la première fois que je l’ai vue à une soirée à Montréal. Je me suis dit : mince, on n’a pas un tel phénomène à Paris. De plus son personnage défend plein de trucs auxquels je tiens, à commencer par la francophonie.
Quelle est la teneur de son spectacle ?
Ce spectacle est une énorme déclaration d’amour entre le Québec et la France, mais pas un amour romantique, plutôt un amour vache ! Mado règle ses comptes avec les maudits Français, et elle s’amuse à comparer nos manies culturelles et les leurs. Elle le fait, entre autre, en interprétant une sélection croustillante de chansons québécoises.
En France il y a peu de personnage à la MADO. Pourquoi selon vous ?
Si je réponds à la manière de Mado, en étant garce, je dirais qu’à Paris les créatures ont un peu trop tendance à se prendre pour des stars et à oublier le travail artistique.
Madame Hervé serait elle la MADO française ?
Hélas non, personnellement je suis juste une Taulière, je ne suis pas à l’aise sur scène, mais dans ma salle près de mes clients… et en semaine derrière mon bureau pour imaginer, concevoir, organiser. Mon ambition, notamment avec la Folle Académie, est de susciter des vocations et de pouvoir les accueillir sur la scène du Tango.
Votre établissement ne désemplit pas et la file d'attente est parfois interminable. Comment expliquez vous ce succès ?
Le nom de mes soirées parle tout seul : le bal gay et lesbien ! Un bal c’est sympa, populaire, festif. En prime, on mélange les genres (les publics et les musiques), tout le monde s’y retrouve sans prise de tête. Enfin, on se renouvelle avec un vrai programme de soirées spéciales, originales, avec des shows.
Quel regard portez vous aujourd'hui sur le milieu gay ?
Les lieux de drague (pour ne pas dire « de cul ») sont devenus sinistres. Du coup, tout le monde préfère rester chez soi devant Internet. Cela ne peut pas continuer indéfiniment. J’ai l’impression que cela va bouger. Les jeunes ont à nouveau envie de s’amuser et se travelotter, c’est bon signe !
Mado au Tango, 11 rue au Maire, 75003 Paris, métro Arts et métiers. Les 21, 22, 23, 27 et 28 avril à 20h30. Entrée 20 euros. Réservations au 01 48 87 25 71.

mardi 21 avril 2009

60 km de nouvelles pistes cyclables avant l'été 2009 pour Montréal

Combien de fois avons-nous fait le même genre de parcours dangereux afin de sauver quelques minutes à vélo pour se rende à destination...
Heureusement la piste de la rue rachel sera raccorder au coin de papineau afin de rende la circulation plus sécuritaire...

Le réseau cyclable gagnera 60 km en 2009 articles de Carole le Hirez Article mis en ligne le 20 avril 2009 à 15:56
http://www.leplateau.com/article-326796-Le-reseau-cyclable-gagnera-60-km-en-2009.html

Gros rassemblement médiatique, mardi, au parc La Fontaine, pour le lancement des travaux prévus cette année sur le réseau des pistes cyclables à Montréal. Le réseau cyclable gagnera 60 km en 2009. Au total, Montréal prévoit investir plus de 14 M$ dans une trentaine de projets sur ses pistes cyclables au cours de la prochaine année. D'ici 2012, la Ville veut doubler le réseau de voies réservées aux vélos.
La programmation 2009 dévoilée mardi par le responsable du Plan de transport de Montréal, André Lavallée, prévoit l'aménagement d'une soixantaine de kilomètres supplémentaires de pistes cyclables ainsi que des mises à niveau sur plusieurs tronçons du réseau. Depuis la mise en œuvre du Plan, en 2007, une centaine de kilomètres de pistes s'est ajoutée au réseau, qui devrait passer d'ici la fin de l'année de 400 à 560 km.«Nous voulons redonner à Montréal sa quatrième place en termes de pistes cyclables en Amérique du Nord. Nous sommes en bonne voie, car 45 % de l'objectif est déjà atteint», a indiqué M. Lavallée.L'annonce a eu lieu près de l'intersection de l'avenue Papineau et de la rue Rachel, où sera réalisé, au cours des prochaines semaines, le tronçon manquant de la piste Rachel entre les rues Érables et Émile–Duployé.«C'est une des premières pistes modernes à Montréal. Rétablir sa continuité, c'est un geste important et symbolique qui marque une nouvelle étape», a indiqué M. Lavallée. En tout, le Plateau Mont-Royal aura droit à l'ajout de près de 5 km de nouvelles pistes. Outre le raccord de la piste Rachel, on prévoit 4 km sur De la Roche et Christophe-Colomb, entre Rachel et Laurier, et 400 m sur la rue Émile-Duployé, qui longe le parc La Fontaine, entre Rachel et Sherbrooke.«Le Plateau est important pour toute reconfiguration du réseau cycliste à cause de l'effet multiplicateur dans les arrondissements centraux. Beaucoup de vélos traversent le secteur et certaines pistes, comme celle de la rue Brébeuf, sont à pleine capacité aux heures de pointe. Il est urgent d'agir si on ne veut pas voir apparaître des phénomènes de rage chez les cyclistes, comme chez certains automobilistes», a indiqué la mairesse Helen Fotopulos.Dans le cadre de son Plan de déplacement urbain, le Plateau Mont-Royal veut faire passer l'utilisation du vélo dans les transports de 7 % à 10 % sur son territoire au cours des prochaines années, a rappelé la mairesse.Plusieurs arrondissements profiteront des travaux annoncés par la Ville. Dans Ville-Marie, on complétera l'accès au pont Jacques-Cartier, on entreprendra la phase 2 de la piste St-Urbain entre De Maisonneuve et Saint-Antoine, ainsi que la portion de la rue University comprise entre Milton et De Maisonneuve, dont une partie se trouve sur le territoire du Plateau Mont-Royal.Rosemont-La-Petite-Patrie verra ses liens avec le Réseau vert bonifiés avec la réalisation des sections Masson / Molson vers Rachel, et St-Dominique / Casgrain vers Jean-Talon. La portion Saint-Joseph / Laurier, entre Molson et la 16e avenue, est également au programme pour un total de 4,2 km de nouvelles pistes dans l'arrondissement de M. Lavallée.Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension est choyé avec 6,2 km de pistes supplémentaires, qui prendront place sur la 16e Avenue, entre Saint-Zotique et François-Perreault, sur la rue de Lille, entre Gouin et le complexe environnemental, et sur la rue Provencher.Des travaux de remise à niveau sont par ailleurs prévus sur une partie du réseau afin de l'améliorer. Sept tronçons sont concernés, notamment l'axe du CP, de Beaubien à Masson, la piste Brébeuf, entre Saint-Grégoire, Laurier et Christophe Colomb, et l'axe Rachel, entre le Plateau et Rosemont.«Pendant 20 ans, il y a eu sous investissements dans le réseau cyclable. On fait du rattrapage», a estimé Suzanne Lareau, P.D.G. de l'organisme Vélo Québec. Elle considère que les nouveaux aménagements annoncés par la Ville permettront de passer à une autre étape dans l'utilisation du vélo à Montréal. «Au cours des dernières années, on a vu surtout du vélo récréatif. Le développement du réseau va amener l'utilisation du vélo dans des activités quotidiennes, pour aller faire ses courses, étudier ou travailler», prédit-elle. L'annonce du programme de travaux survient à quelques semaines de la mise en service du réseau de stations BIXI à Montréal. La Ville s'apprête par ailleurs à lancer une première carte du réseau cyclable présent sur l'ensemble de l'île.(Photo: Jacques Pharand)
La future intersection Rachel / Papineau, telle qu'elle sera réaménagée pour faire place à la piste cyclable.

vendredi 17 avril 2009

Montréal, ville de vélo selon le magazine bicycling!


Sources: La Presse François Cardinal


Montréal est de retour «sur la map». Après s'être vantée pendant 10 ans d'avoir été citée parmi les villes les plus accueillantes au vélo par le magazine Bicycling, la métropole renoue avec les honneurs, enfin.
Enfin, parce qu'il était devenu quelque peu pathétique d'exhiber, encore aujourd'hui, un titre vieux d'une décennie, qui ne servait plus qu'à masquer le laxisme politique en matière cyclable à Montréal.
Les amateurs du deux roues commençaient en effet à manquer de pignons sur leur roue libre pour compter le nombre d'années qui les séparaient du dernier investissement majeur fait dans le réseau. Puis soudainement, avec l'adoption d'un plan de transport fortement teinté de vert, la métropole est de retour dans les bonnes grâces cyclistes.
Le prestigieux magazine Forbes le confirme, en plaçant Montréal au 4e rang (des villes nord-américaines les plus accueillantes à la bicyclette (après Portland, Boulder et San Diego). Le magazine Time aussi, en classant le Bixi, le futur service de vélo en libre-service de Montréal, parmi les 50 meilleures inventions de 2008.
Et la liste se poursuit : la revue canadienne Green Living fait mention de Montréal dans son palmarès des villes vertes de demain, actuellement en kiosque, les Edison Awards ont tout récemment classé le Bixi parmi les inventions les plus remarquables de l'année, aux côtés du iPhone et du MacBook Air, rien de moins.
Reconnaissons-le donc : avec l'ouverture du réseau cyclable, mercredi dernier, s'ouvrait une nouvelle ère pour les cyclistes.
Les chicanes locales, comme celle qui a entouré l'implantation d'une piste cyclable en site propre le long de la Côte-Sainte-Catherine, à Outremont, en sont d'ailleurs un indice supplémentaire. Si le vélo dérange tant, c'est qu'il prend enfin de la place.
«La saison 2009 s'annonce comme une des plus ambitieuses des dernières années, a fièrement lancé mercredi le responsable du transport à la Ville, André Lavallée. Nous allons construire de nouvelles voies, établir des liens entre certaines pistes et mettre aux normes une partie du réseau existant. Cette année constitue un pas important vers l'atteinte de notre objectif ultime : doubler la longueur du réseau en sept ans, afin d'atteindre 800 kilomètres.»
On peut bien se plaindre que certaines pistes ne sont que de vulgaires coups de pinceaux sur le sol, qu'il n'y aura pas suffisamment de stations Bixi, que ce dernier sera trop cher ou encore que les stationnements sécuritaires sont inexistants en ville - autant de critiques justifiées -, une chose demeure : on en fait plus que jamais pour accommoder ceux qui souhaitent délaisser leur auto au profit du vélo.
Intéressante en soi, la nouvelle attitude de l'administration municipale l'est d'autant plus qu'elle s'inscrit dans une période de changements de comportement des citoyens. Il n'y a qu'à se promener à Montréal pour constater la popularité grandissante des moyens de transport autres que le «char», que ce soit le vélo, la marche, le transport collectif ou encore le scooter.
Il faudra attendre quelques année avant que les chiffres confirment cette intuition. Mais une récente étude de Statistique Canada révèle à tout le moins qu'une telle tendance se dessine. Entre 2001 et 2006, la proportion de navetteurs de la génération des 25-34 ans ayant opté pour le «transport durable», c'est-à-dire les modes de transport plus respectueux de l'environnement, a grimpé de manière significative, passant de 29,5 % à 32,9 %.
Cela dit, il est vrai que le vélo demeure marginal dans le cocktail transport des Montréalais, puisqu'il ne constitue encore que 1,6 % des déplacements. On est bien loin d'Amsterdam (40 %) et de Copenhague (35 %), même si on est dans le peloton de tête de l'Amérique du Nord.
Pour que ces investissements ne demeurent pas, en cette année électorale, un habile coup de marketing politique sans lendemain, les citoyens devront donc aussi faire leur part, ils devront s'accaparer ces nouvelles infrastructures, les utiliser, les user.
C'est encore la meilleure manière de donner raison aux élus... et peut-être même de les inciter à remplacer les bandes peintes sur le sol par de réelles pistes cyclables

lundi 13 avril 2009

La caisse de dépot, gestion du risque, mauvaise nomination en 2006




Une gestionnaire en ressources humaines comme responsable de la gestion du risque sur des placements de plusieurs milliards de dollars... Elle est encore au même poste et elle gère encore le risque des placements,,, Allo!!! il y a t'il un conducteur sur le volant Monsieur Charest??? Susan kudzman a déjà travaillé pour Monsieur rousseau en 2002... Y aurait-il eu du favoritisme entre amis pour cette nomination??? Ou peut-être que son inexpérience était utile à certaines personne qui voulait manipuler la gestionnaire du capital de risque, afin de plaire à des vendeurs de papiers commerciaux... Le retour d'ascenseur serait-il une nomination chez power corporation??? Ou pire encore, qui sait, pas nous, mais eux oui...


Sources: http://caissededepot.blogspot.com/ Previously, from 2000 to 2002, Ms. Kudzman was Chief HUMAN RESOURCES Officer at the Laurentian Bank where she worked for Mr. Rousseau ! and from 2002-2005, Chief human resources officer at BCE Emergis. She had NO EXPERIENCE IN MARKET RISK MANAGEMENT.

source: cyberpresse
La Caisse a beau s’évertuer à dire qu’elle n’a pas «pris des risques inconsidérés», on ne peut faire autrement que de penser qu’elle s’est comportée de façon téméraire. Sa gestion du risque ne comprenait pas de scénario du pire, soit un marché paralysé, en total absence de liquidités. D’ailleurs, la responsable de cette politique, Susan Kudzman, a baragouiné hier lorsqu’on lui a demandé de l’expliquer en des termes simples.


Caisse de dépôt et placement du Québec
Nominations à la Caisse
3 avril 2006 - 12h47
Webfin ARGENT

Le président et chef de la direction de la Caisse de dépôt et placement du Québec, Henri-Paul Rousseau, annonce la nomination de Richard Guay à titre de chef de la direction du placement et de Susan Kudzman à titre de première vice-présidente, Gestion du risque et gestion des comptes des déposants.
À titre de chef de la direction du placement, Richard Guay supervisera directement les activités des quatre secteurs d'investissement soit Marchés boursiers, Revenu fixe, Rendement absolu et Analyse et optimisation des investissements. Il sera également responsable du rôle conseil en politique de placement auprès des déposants, de l'allocation d'actif et de la recherche en placement.
Pour sa part, Susan Kudzman supervisera directement les groupes Gestion des comptes des déposants, Gestion du risque de marché et Mesure et analyse du rendement. De plus, elle présidera le comité déposants et risques (CDR) et le comité CDR-transaction et sera membre du comité de direction.
«Ce changement organisationnel s'inscrit dans la poursuite de l'objectif de la Caisse d'adopter les meilleures pratiques de l'industrie en vue de devenir une organisation de référence», a indiqué M. Rousseau. «En adoptant cette structure, la Caisse utilise un modèle qu'on retrouve chez plusieurs gestionnaires de placement institutionnels.»

Qui est Richard Guay?
Alexandre Paillé, Lesaffaires.com
5 septembre 2008 19h07-->Presse Canadienne-->


Le gouvernement du Québec a approuvé la nomination de Richard Guay comme remplaçant d’Henri-Paul Rousseau à la tête de la Caisse de dépôt et placement du Québec. Qui est cet homme peu connu du grand public? Richard Guay vise le rendementVoici le nouveau président de la Caisse de dépôt
Richard Guay occupait déjà les fonctions de président et chef de la direction de la Caisse puisqu’il assume l’intérim depuis le départ d’Henri-Paul Rousseau. Il assurait donc la continuité des activités de la Caisse et coordonne la mise en œuvre de ses orientations d’affaires depuis le 30 mai dernier. M. Guay détient une maîtrise en économie de l'Université Queens, une maîtrise en finance de HEC Montréal et un doctorat en économie financière de l'Université Queens. Il a été professeur de finance à l'école HEC Montréal de 1989 à 1994. Il détient aussi le titre d'analyste financier agréé (CFA). Richard Guay est entré à la Caisse en 1995. En novembre 2002, il est nommé premier vice-président, Gestion du risque et gestion des comptes des déposants, avant d’être promu chef de la direction du placement en 2006. À ce titre, il supervisait les quatre premières vice-présidences responsables de la gestion de 14 des 18 portefeuilles spécialisés de la Caisse. En outre, il gérait la répartition de l’actif, l’utilisation du levier et le choix des indices de ces quatre groupes d’investissement ainsi que des groupes Immobilier et Placements privés. M. Guay dirigeait également les activités des équipes Recherche et conseil en politique de placement, Répartition tactique de l’actif et Administration et gestion de projets.


Qui est Susan Kudzman?

Sources Caisse de dépot: http://www.lacaisse.com/fr/lacaisse/organisation/Pages/susan-kudzman.aspx
Susan Kudzman
Première vice-présidente Déposants et risques
Profil Susan Kudzman est première vice-présidente, Déposants et risques à la Caisse depuis avril 2006.
Mme Kudzman est responsable de la gestion des comptes des déposants, de la gestion des risques, de la reddition de comptes, des initiatives et de la planification stratégiques, ainsi que de la mesure et de l’analyse du rendement. De plus, elle préside le comité déposants et risques (CDR) et le comité CDR-Transactions. Elle est membre du comité de direction.
ParcoursEntrée à la Caisse en 2005, Susan Kudzman a été vice-présidente principale, Gestion du risque et du rendement. Auparavant, Mme Kudzman a notamment occupé les postes de chef des ressources humaines et de chef des affaires corporatives de BCE Emergis de 2000 à 2005. Elle a aussi travaillé comme expert conseil en actuariat pendant plus de 15 ans chez Towers Perrin et chez Mercer.
Susan Kudzman est titulaire d’un baccalauréat en actuariat de l’Université Laval. Elle est Fellow de l’Institut canadien des actuaires et de la Society of Actuaries (États-Unis).

dimanche 12 avril 2009

Des renforts pour nos soldats canadiens...

L'aide américaine est bienvenue, mais il reste à savoir si elle sera utile sur le long terme. Les talibans pronent l'islam fanatique à la population depuis plusieurs années et cette même population est toujours très mal informé sur les bonnes intentions de l'Otan, alors j'espère que d'ici 2010 le vent tournera dans l'opinion publique afghane en faveur des coutumes occidentales et non à un retour vers l'islam fanatique...



Afghanistan

Les États-Unis viennent en aide au Canada

Sources: La Presse Canadienne 12/04/2009 13h56

Les renforts de 17 000 soldats américains qui arriveront bientôt dans le sud de l'Afghanistan entraîneront des combats plus nombreux et plus intenses, là où est concentré le corps expéditionnaire canadien.
Le commandement entend se livrer à une démonstration de force, dans cette zone du pays contestée par les insurgés talibans. Ce nouveau déploiement doit aussi empêcher les talibans de terroriser «la population locale».
Le major général Mart De Kruif, commandant de la Force internationale d'assistance à la sécurité (FIAS) dans la Région Sud, a précisé que les Canadiens seront «renforcés» pour permettre aux troupes de se rendre dans des endroits jamais visités auparavant.
Les Américains doivent ainsi combler les vides que les effectifs canadiens ne pouvaient efficacement assumer jusqu'ici.
Théoriquement, cette campagne de pacification doit consolider le gouvernement afghan, ses efforts de reconstruction et de développement, ainsi que la formation et le mentorat des forces de sécurité afghanes.

mardi 7 avril 2009

Aménagez votre terrain ce printemps autour de votre demeure.

L'aménagement de tuile de ciment aide à diriger l'eau vers les plantes.
Un baril de plastique récupère l'eau de pluie de la toiture par des gouttières, afin d'arroser vos plantes.


Récupérer l'eau de pluie.
sources: Le 3 avril 2009
Gilles Angers
Le Soleil
L'eau de pluie est une ressource précieuse pour les propriétaires de maison. Elle peut entre autres servir à arroser le jardin. Les municipalités encouragent d'ailleurs plus que jamais les propriétaires à garder leurs eaux pluviales plutôt que d'encombrer le réseau public.
Pour la «gestion», chez soi, des eaux pluviales, tout en les éloignant des fondations de la maison, on doit d'abord s'inspirer de la nature, dit la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL).
En effet, le sol reçoit l'eau, la filtre, la débarrasse naturellement de certains polluants alors qu'elle s'achemine vers la nappe phréatique. Au passage, les plantes s'en abreuvent.
Les espaces bitumés, couverts de pierre «jointée» au mortier ou de pavés - réunis par un composé de sable, de polymère et de colle presque infranchissable - dont le plan s'incline vers la rue sont des empêcheurs de percolation des eaux dans le sol et de grands mouilleurs des voies publiques.
À moins qu'on ne préfère laisser libre de pierre, de pavé ou d'asphalte la plus grande superficie possible dans la cour, mais dans la mesure où le sol se draine bien, on peut garnir son entrée ou sa terrasse de pavés perméables.
Au Québec, on retrouve les marques Permea de Techo-Bloc (Saint-Hubert), Via Appia de Bolduc (Sainte-Marie) et Subterra de la multinationale Permacon. Leurs interstices peuvent recevoir les eaux de surface, en direction de la nappe phréatique.
«Ce genre de pavé est commun en Allemagne depuis 27 ans. Par contre, notre société en fait depuis trois ans», raconte Yves Lalumière, représentant chez Techo-Bloc.
Il fallait agir parce que, se défend-il, l'eau pluviale charrie des polluants, congestionne souvent les réseaux publics, puis, par temps très chaud, réchauffe les eaux des rivières et dérègle subtilement la flore et la faune marines.
Capter et récupérer
D'un autre côté, on peut capter l'eau et l'utiliser. Soit pour arroser le jardin, nettoyer l'entrée sans employer l'eau d'aqueduc ou approvisionner, dans la maison, le réservoir de la toilette.
On peut, par exemple, recueillir l'eau des gouttières au moyen d'un tonneau et s'en servir pour arroser les plantes. Sans compter l'aspect charmant et nostalgique de l'objet.
Ou aussi implanter une citerne souterraine, munie d'une pompe et d'un tuyau de captage connecté à la gouttière, tel qu'en fait Sovotech, de Thetford. De la sorte, on fait provision d'eau en prévision des jours où il ne pleut pas et on ménage, ce faisant, le débit des usines publiques de traitement des eaux.
À moins que le réservoir ne soit posé sur une élévation ou un tertre de telle sorte que la pression d'eau résulte de la gravité, à la manière d'un château d'eau.
Jardin pluvial
On peut aussi créer un jardin pluvial, suggère la SCHL. Il consiste en un lit de plantes ou de pierres, conçu expressément pour capter les eaux et permettre au sol de les absorber lentement.
«Choisissez des plantes vivaces, des arbustes, des graminées ou des fougères qui tolèrent à la fois les conditions humides et sèches», détaille la SCHL. Les plantes indigènes sont ordinairement les plus opportunes.

On peut recueillir l'eau des gouttières au moyen d'un tonneau et s'en servir pour arroser les plantes.

Aux citoyens de faire leur part
Il est temps que les propriétaires d'une maison retiennent et «gèrent» leurs eaux pluviales plutôt que de les envoyer dans le réseau public, qui, lors de pluies intenses, ne fournit plus.
«Les municipalités font de leur mieux, aux citoyens de faire leur part», croit le Bureau d'assurance du Canada (BAC), en appui à l'Union des municipalités du Québec (UMQ), qui verrait d'un bon oeil que les particuliers s'emploient, chez eux, à la rétention des eaux et à leur réemploi.
En effet, les égouts pluviaux publics, lors d'épisodes de pluies violentes dont la fréquence est plus grande que jamais, sont très vulnérables aux engorgements, tandis que les eaux sont susceptibles d'altérer les rives, le lit et les eaux mêmes des rivières et lacs où elles finissent par aboutir.
L'UMQ admet que, sans être pour elle un enjeu de taille, l'écoulement des eaux pluviales dans les rues et le réseau n'en reste pas moins préoccupant.

Le jardin pluvial consiste en un lit de plantes ou de pierres, conçu pour capter les eaux et permettre au sol de les absorber lentement.
Photo: SCHL
«Plusieurs municipalités essaient de sensibiliser leurs citoyens. D'autres sont tourmentées par la vétusté de leurs infrastructures qui les rendraient impropres à autant d'épisodes de pluies intenses liées vraisemblablement aux changements climatiques», relate François Sormany, conseiller en communications au sein de l'UMQ.
La Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), dans son opuscule Un jardin pluvial pour mieux gérer les eaux de ruissellement dans votre cour (collection Votre maison), semble également inquiète de la vidange des eaux dans le système public.
«Elles viennent de la pluie, de la neige et de la glace fondante», explique-t-elle. Elles tombent sur les toits et les surfaces dures et sont souvent emportées dans la rue. Et contiennent virtuellement des sels de déglaçage, des métaux lourds, de l'huile, des excréments, des pesticides et des engrais.
«Sur la chaussée, elles entraînent dans leur sillage des saletés, voire de l'essence. Puis s'engouffrent dans les puisards et finissent dans le fleuve», s'inquiète Yves Lalumière, représentant de société Techo-Bloc de Saint-Hubert, qui fabrique des pavés de béton perméables, c'est-à-dire qui reçoivent, dans la cour, les eaux et les font ruisseler vers la nappe phréatique. Chemin faisant, elles sont purifiées par le sol.

Certains types de pavés peuvent créer un obstacle qui empêchera l'eau de pénétrer le sol pour s'y filtrer naturellement, avant d'atteindre la nappe phréatique.

Le BAC, dit Alexandre Royer, un des conseillers en affaires publiques de l'organisme, est on ne peut plus favorable à la captation des eaux de pluie par les particuliers.
«Cent litres de moins dans le réseau par le fait d'un ménage, c'est déjà ça de gagné. Imaginez la retenue d'eau si un quartier entier emboîtait le pas», dit-il.
En fait, d'après lui, tout le monde en tirerait avantage : les municipalités dont les réseaux pourraient se suffire à eux-mêmes, les citoyens qui sont susceptibles d'échapper à des sinistres résultant, par exemple, de refoulements d'égout et les assureurs. Et l'environnement s'en porterait un peu mieux.
«La mise en place de 55 000 citernes pluviales dans une municipalité de taille moyenne peut donner lieu à une retenue de 1,5 million de gallons d'eau, soit l'équivalent de cinq piscines olympiques», plaide-t-il.
Enfin, la Fédération québécoise des municipalités, qui regroupe des corporations rurales en très grande majorité, se dit peu concernée par la captation des eaux pluviales par les particuliers. «C'est surtout l'affaire des villes. Ce qui ne veut pas dire qu'il n'y a pas de problème», rapporte Denis Rousseau, du service des communications de l'organisme.
___________________________

samedi 4 avril 2009

La pétition de Gengis contre l'homophobie!

Nos écoles ne sont pas l'environnement sécuritaire auquel notre société projette, soit une société juste et non violente, ou tous sont protégés face à des injustices. Utopie ou réalité?
La pétition va bon train vous pouvez la signer aux endroits inscrits sur ce lien;
Gengis Grenier espère recueillir 25 000 signatures dans la pétition qu'il remettra à la ministre Courchesne.
Photo: Jean-Louis Fortin

Le samedi 4 avril 2009
Actualités

David Fortin: une pétition contre l’intimidation
Sources: Le 24 Heures, Jean-Louis Fortin
02/04/2009 16h06

Gengis Grenier espère recueillir 25 000 signatures dans la pétition qu'il remettra à la ministre Courchesne.
Deux mois après la disparition du jeune David Fortin, une vaste pétition circule pour dénoncer l’intimidation et la violence à l’école, et sera remise à la ministre de l’Éducation en mai.
Son initiateur, Gengis Grenier, espère recueillir 25 000 signatures d’ici la journée nationale contre l’homophobie, le 17 mai, où il contre rencontrer Michelle Courchesne pour lui demander de prendre des actions concrètes contre les attaques à caractère homophobe similaires à celles dont aurait été victime David Fortin.

Voyage, Rivière-à-Pierre en train, vélo jusqu'à Québec cet été

Piste de shannon à québec par le Corridor des Cheminots traversant la ville sur 22 kms.
Une piste à découvrir !
Aménagée sur une ancienne emprise ferroviaire, la Vélopiste Jacques-Cartier/Portneuf est directement reliée à Québec par vélo et à Montréal par train. La Vélopiste Jacques-Cartier/Portneuf, une piste décidément environnementale, propose de mai à octobre une expérience particulière et un parcours de 68 km unique, de qualité, moins achalandé et exclusivement réservé aux cyclistes. Avec une dénivellation maximum de 3 %, elle est principalement en forêt, mais aussi à la campagne et à travers diverses zones de villégiature réputées et permettant la pratique de multiples activités sportives et culturelles.



Visitez le Québec en train cet été
par Mélissa Vaillancourt; http://www.espaces.qc.ca/espaces/html/destinations/autres_estivales/estivales55.shtml


Au Québec, le train passe parfois à des endroits où ni l'auto, ni l'avion, ni le bateau ne se rendent. Il est même possible de demander que le train s'arrête à des endroits bien précis! Il est donc bien souvent possible d’accéder à une rivière sauvage, un lac perdu, un sentier désert ou une paroi d'escalade inconnue.


Les destinations à visiter en train cet été
1-) Destination : Saguenay
Montréal-Jonquière 510 km / 8,5 h


2e arrêt : Rivière-à-Pierre [Randonnée et canot] La réserve faunique de Portneuf compte plus de 375 lacs et 11 rivières dispersés sur un territoire de 775 km2. Plusieurs sentiers de randonnées vous mènent tantôt vers des points d’intérêt. À ne pas manquer : les chutes de la Marmite, les chutes du lac Manchot, le secteur de la coulée creuse et le sentier Cap-à-l’Aigle. Au camping Bellevue, il est possible de louer des canots.> 418 323-2021 • sepaq.com/rf/por/fr


[Vélo de route] Aménagée sur une ancienne voie ferrée, la piste cyclable de la Jacques-Cartier relie Rivière-à-Pierre à Shannon (68 km). Le sentier en poussière de roche traverse de petits villages pittoresques et croise de nombreux lacs et rivières : rivière noire, lac Simon, lac de l’oasis, rivière Bras-du-Nord, rivière de Portneuf, lac Sergent, lac Saint-Joseph et la rivière Jacques-Cartier. > 418 337-7525 • ville.st-raymond.qc.ca

mercredi 1 avril 2009

Montréal, ville de quêteux 101

Lois contre les mendiants en France année 1700 que nos élues devraient s'inspirer avant que tous le monde équilibré quitte pour la banlieue. Je suis un peu décourager de toujours me faire quêter de plus en plus proche de chez moi et à toutes heures, ce soir vers minuit je reviend du cinéma sur ma rue normalement bien tranquille que fut ma surprise; me faire redemander de l'argent par une espèce de femme qui a essayer dernièrement et réessayait de me faire croire qu'elle avait besoin d'argent pour manger et le pire, c'est qu'elle se forçait malhabilement pour parlé avec une voix pleurnicharde. Lorsque je lui ai dit non, ça fait deux fois que tu m'achale, je te crois pas et arrête de me suivre comme une queue de veau, elle est parti à la course et m'a dit de manger d'la marde, un piéton qui marchait vers elle a changer de coté de la rue elle l'a suivie et elle a recommencer son manège, le piéton lui a répondu "christ ton camp fatiquante tu m'achale à toute les soirs... Au centre ville peut-être qu'il faut les endurer, mais dans une rue secondaire comme la mienne, ils commencent à m'emmerder royalement.

Sources: Tribune libre; La mendicité; plus ça change, plus c’est pareil, Article mis en ligne le 3 février 2009 http://www.leplateau.com/

La mendicité; plus ça change, plus c’est pareil
En cette fin de première décennie du nouveau millénaire, j’ai décidé de prendre une résolution. Ce que je ne faisais jamais auparavant, mais en 2009, je repars en neuf. C’est mon adage pour l’année. Mais qu’est-ce qui m’a poussé cette année à prendre cette décision? Le manque d’exercice, l’embonpoint? Non, pas du tout. C’est la mendicité sur l’avenue du Mont-royal. Je vis sur le plateau Mont-Royal depuis 17 ans et depuis quelques années j’y ai vu plusieurs changements positifs. Mais j’y ai également vu des changements plutôt négatifs. La mendicité entre autres. Montréal est en train de devenir la San Francisco de la mendicité. La majorité des grands axes commerciaux sont devenus les hauts lieux des affaires des mendiants. Cette situation qui est anormale pour une société telle la nôtre projette une drôle d’image de nous.Lorsque les touristes viennent visiter notre ville, ils sont choqués de constater le nombre effarant de sans-abri ou mendiants campés devant les commerces des artères achalandées de Montréal. Ce phénomène est très surprenant pour une ville nordique. Ces visiteurs doivent avoir des réflexions comme « La vie est dure au Canada » ou « On ne s’occupe pas de ces gens-là ici? » ou encore « On se croirait dans un pays émergent ». À mon avis, il y a une question à se poser : n’avons-nous pas assez de compassion ou encore avons-nous trop d’indifférence?L’incident qui m’a amené à prendre la résolution de cesser de me taire sur ce phénomène est survenu le 3 janvier dernier alors que j’entrais à la succursale de la SAQ de l’avenue du Mont-Royal au coin de Papineau. Le mendiant qui est toujours posté à la porte de cette SAQ depuis des lunes ne cesse d’expectorer devant l’entrée en plus de nous envoyer la fumée de sa cigarette au nez. Mais cette fois-ci, il s’est désenrhumé à environ 15 cm de mon visage. Et quand je dis se désenrhumer, c’est se racler la gorge. Vous savez ce roulement sonore qui provient du fond de la trachée faisant remonter les sécrétions de rhume de fumeur invétéré. Évidemment, j’ai eu un haut-le-cœur. Là, c’en était trop. Lors du retour à mon appartement, je me suis dit que c’est maintenant ou jamais que je fais parvenir le document historique sur la mendicité à Paris qui visait les vagabonds qui faisaient de la mendicité leur métier. L’an dernier, j’ai voulu l’afficher le long de l’avenue, mais… Voici un extrait de l’Édit contre les fainéants de Paris émis par le roi de France Louis XIV en 1700.On le voit bien, il y a 309 ans, même les autorités françaises avaient été interpellées par l’ampleur du phénomène de mendicité à Paris. Je ne soutiens pas ici qu’il faille voter une telle loi, c’est seulement afin de faire une analogie entre des événements qui se sont déroulés en 1700 et ceux d’aujourd’hui. Alors, pourquoi à Montréal en 2009 nos autorités devraient-elles laisser aller la pauvreté et la mendicité sans rien faire? N’y a-t-il pas des solutions afin d’enrayer ce phénomène qui est en constante progression? Je crois fortement qu’il faut agir le plus rapidement possible avant que la situation ne détériore davantage la qualité de vie des Montréalais et que plusieurs décident de quitter la « métropauvre ». Il ne faut surtout pas croire qu’en donnant quelques pièces de monnaie aux mendiants on leur vient en aide. On fait juste soulager notre culpabilité, et du coup, on condamne ces personnes à poursuivre leur « métier » de mendiant.
Claude Breault, Enseignant en univers social et guide accompagnateur