mercredi 28 juillet 2010
Montreal / Oka en vélo
Demain je part tôt pour la plage d'Oka en vélo du plateau à Montreal, 40 km aller et 40 au retour, bonne journée en perspective. Je vous donnerez mon avis sur cette excussion plus tard, alors à bientôt sur cette tribune.
jeudi 1 juillet 2010
La fête des 9 provinces du Canada
Le drapeau du Québec serait en berne si je serai Premier Ministre du Québec, mais avec John Lobbyist en chef Charest pas de chance pour les québécois bafoués par deux fois par le ROC "Rest of Canada"
En 1982 avec le rapatriement de la "constitution of Canada " et en 1990 avec le refu de l'accord du Lac Meech.
Jamais deux sans trois,
la Loi sur la clarté de 2000 intégré à la constitution est l'autre claque que les passifs du Québec ont reçu et comme une conjointe ou conjoint maltraité, le Québec a oublié à part quelques 40 % de souverainistes.
Les autres, les 60% d'illettrés politiques ont rapidement oublié, du moins ceux qui s'en ont rendu compte.
Maintenant, nous avons les effets du muticuturalisme "of Canada", nos nouveaux canadiens, québécois d'outre frontière, ceux qui ont et vont voter majoritairement non au prochain référendum en deux milles quelques chose comme un grand peuple. Nous allons laisser à tous et chacun venir de partout dans le monde nous dicter ce que nous devrions être et leurs accommoder en guise de remerciement pour notre extinction comme peuplade d'Amérique du nord.
Mon âme de québécois est en berne, à vous regarder agir québécois, j'ai de plus en plus honte et d'en être un!
Loi constitutionnelle de 1982.
Cette loi était un Acte du Parlement du Canada demandant une pleine indépendance politique envers le Royaume-Uni. Cet accord fut signé sans l'accord d'une des provinces fondatrices du pays et seul territoire officiellement francophone du Canada : le Québec (voir la Nuit des Longs Couteaux (Québec)). La Partie V de cette loi créa une procédure d'amendement constitutionnel qui ne nécessitait pas un vote du Parlement britannique. De plus, la Partie I de cette loi forme la Charte canadienne des droits et libertés qui définit les droits et libertés civiques de chaque citoyen canadien, tel que la liberté de conscience et de religion, d'expression, le droit de circulation, etc. La Partie II consacre les droits des peuples autochtones du Canada.
L'accord du lac Meech
Il était un projet de réforme constitutionnelle au Canada visant à convaincre le Québec de signer la Loi constitutionnelle de 1982. L'accord, conclu entre les provinces et le gouvernement fédéral en 1987, comprenait cinq modifications constitutionnelles visant à répondre aux demandes du Québec. Les modifications exigeaient la ratification unanime des 11 gouvernements du Canada (10 provinces et le fédéral) dans un délai de 3 ans (1987-1990) pour entrer en vigueur. Toutes les provinces signèrent l'accord, mais deux assemblées législatives ne ratifièrent pas la modification avant l'échéance du délai.
Loi sur la clarté référendaire",
est une loi fédérale qui prévoit les modalités en cas de sécession de l'une de ses provinces. Elle vise particulièrement le Québec[2].
La loi est née de l'initiative du député Stéphane Dion du Parti libéral du Canada.
Elle impose une procédure à la formulation d'une question référendaire dite claire, lorsqu'elle porte sur la sécession de l'une des provinces canadiennes. Elle indique également les facteurs qualitatifs à considérer afin de savoir si les votes référendaires représentent une majorité claire. En vertu de cette loi, une question référendaire claire et une majorité claire constituent des conditions sine qua non afin que le Canada accepte de négocier bilatéralement les modalités de sécession de l'une de ses provinces.
C'est l'arrêt du 20 août 1998, de la Cour suprême du Canada, intitulé Renvoi relatif à la sécession du Québec, [1998] 2 R.C.S. 217[3] qui a servi d'inspiration au contenu de cette loi. Cet arrêt n'est pas issu d'un litige à proprement parler, mais découle d'un avis consultatif demandé par le gouverneur général en conseil, suite aux résultats excessivement serrés du Référendum de 1995 au Québec. Ainsi, la Loi sur la clarté référendaire et cet arrêt de la Cour suprême du Canada devraient être lus conjointement, car ce dernier examine exhaustivement les aspects constitutionnels d'une sécession. Cette dernière remarque devrait s'appliquer mutatis mutandis à la section suivante du présent texte.
En 1982 avec le rapatriement de la "constitution of Canada " et en 1990 avec le refu de l'accord du Lac Meech.
Jamais deux sans trois,
la Loi sur la clarté de 2000 intégré à la constitution est l'autre claque que les passifs du Québec ont reçu et comme une conjointe ou conjoint maltraité, le Québec a oublié à part quelques 40 % de souverainistes.
Les autres, les 60% d'illettrés politiques ont rapidement oublié, du moins ceux qui s'en ont rendu compte.
Maintenant, nous avons les effets du muticuturalisme "of Canada", nos nouveaux canadiens, québécois d'outre frontière, ceux qui ont et vont voter majoritairement non au prochain référendum en deux milles quelques chose comme un grand peuple. Nous allons laisser à tous et chacun venir de partout dans le monde nous dicter ce que nous devrions être et leurs accommoder en guise de remerciement pour notre extinction comme peuplade d'Amérique du nord.
Mon âme de québécois est en berne, à vous regarder agir québécois, j'ai de plus en plus honte et d'en être un!
Loi constitutionnelle de 1982.
Cette loi était un Acte du Parlement du Canada demandant une pleine indépendance politique envers le Royaume-Uni. Cet accord fut signé sans l'accord d'une des provinces fondatrices du pays et seul territoire officiellement francophone du Canada : le Québec (voir la Nuit des Longs Couteaux (Québec)). La Partie V de cette loi créa une procédure d'amendement constitutionnel qui ne nécessitait pas un vote du Parlement britannique. De plus, la Partie I de cette loi forme la Charte canadienne des droits et libertés qui définit les droits et libertés civiques de chaque citoyen canadien, tel que la liberté de conscience et de religion, d'expression, le droit de circulation, etc. La Partie II consacre les droits des peuples autochtones du Canada.
L'accord du lac Meech
Il était un projet de réforme constitutionnelle au Canada visant à convaincre le Québec de signer la Loi constitutionnelle de 1982. L'accord, conclu entre les provinces et le gouvernement fédéral en 1987, comprenait cinq modifications constitutionnelles visant à répondre aux demandes du Québec. Les modifications exigeaient la ratification unanime des 11 gouvernements du Canada (10 provinces et le fédéral) dans un délai de 3 ans (1987-1990) pour entrer en vigueur. Toutes les provinces signèrent l'accord, mais deux assemblées législatives ne ratifièrent pas la modification avant l'échéance du délai.
Loi sur la clarté référendaire",
est une loi fédérale qui prévoit les modalités en cas de sécession de l'une de ses provinces. Elle vise particulièrement le Québec[2].
La loi est née de l'initiative du député Stéphane Dion du Parti libéral du Canada.
Elle impose une procédure à la formulation d'une question référendaire dite claire, lorsqu'elle porte sur la sécession de l'une des provinces canadiennes. Elle indique également les facteurs qualitatifs à considérer afin de savoir si les votes référendaires représentent une majorité claire. En vertu de cette loi, une question référendaire claire et une majorité claire constituent des conditions sine qua non afin que le Canada accepte de négocier bilatéralement les modalités de sécession de l'une de ses provinces.
C'est l'arrêt du 20 août 1998, de la Cour suprême du Canada, intitulé Renvoi relatif à la sécession du Québec, [1998] 2 R.C.S. 217[3] qui a servi d'inspiration au contenu de cette loi. Cet arrêt n'est pas issu d'un litige à proprement parler, mais découle d'un avis consultatif demandé par le gouverneur général en conseil, suite aux résultats excessivement serrés du Référendum de 1995 au Québec. Ainsi, la Loi sur la clarté référendaire et cet arrêt de la Cour suprême du Canada devraient être lus conjointement, car ce dernier examine exhaustivement les aspects constitutionnels d'une sécession. Cette dernière remarque devrait s'appliquer mutatis mutandis à la section suivante du présent texte.
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