S'il y avait eu cent ans auparavant au Québec aucune frontière et religion catholique, alors quel langage de nos jours serait parlé au Québec?
Certainement pas le langage de notre liberté commune le français, car notre liberté est tributaire du respect de notre identité québécoise.
La menace la plus grande au Québec envers notre liberté de parlé français au travail d'ici 15 ans. Ce sera la dette énorme que nous sommes en train de léguer aux futures générations. Ces jeunes seront esclaves des taux d'intérêts dictée par les maîtres de la finance. Au travail, ils devront subir les nouvelles normes linguistiques du commerce mondiale. Les employeurs vont jouer sur les mots, afin de donner l'illusion aux travailleur que seule la langue anglaise sera utile pour garder des contrat au Québec. Toutefois, il est encore temps de laisser un héritage riche et utile à nos jeunes. C'est possible en diminuant la dette et en devenant un pays ou la langue d'usage pratiqué au travail sera le français.
Extrait de l'émigré de Paul Bourget; Vérité sociale profonde: Il n'y a d'accroissement de la force d'un pays, que si les efforts des générations s'additionnent.
Nous ne serons jamais un pays libre et civilisé aussi longtemps que nous dépenserons moins d'argent pour l'éducation de nos jeunes que pour nos infrastructures vieillissantes. La première réforme décisive qui apporta les succès passés de la révolution tranquille des années soixante à été une éducation gratuite pour tous. Il est temps d'exiger un système d'éducation renouvelé pour nos jeunes et ce afin que dans le futur nos routes et nos pont soient repensées et réparées en fonction des nouvelles réalités. En exemple, le transport par moyen électrique va apporter des changement de priorité, alors pourquoi réparer à coup de milliards aujourd'hui pour des infrastructures qui ne seront peut-être pas utile dans quinze ans.
Comme écrivait Félix Leclerc; il y a des pays où l'état paie l'étudiant et lui dit merci.
Serons-nous assez sage pour agir en fonction de pouvoir réaliser notre liberté par la confiance envers nos jeunes? Oui il le faut.
Ces étudiants seront les maître du Québec de demain et ce sera pas des étrangers à Ottawa ou ailleurs dans le monde. C'est un moyen d'être plus libre et un peuple prospère dans l'avenir, un modèle pour l'humanité.
Selon une citation de Sun Yat-Sen: Dans la construction d'un pays, ce ne sont pas les travailleurs manuels qui manquent, mais bien les idéalistes et les planificateurs.
Selon l'extrait de Notre Amérique par José Marti: Le gouvernement doit naître d'un pays.
Alors pourquoi attendre l'élection du PQ ou que François Legault sorte de sa torpeur avant de faire naître notre pays. Agissons ensemble maintenant, devenons maître de notre propre pays et contournons les obstacle du système politique actuel qui ne sert que l'élite fortunée d'ici et d'ailleurs. Nous pourrions tous sortir dans la rue par millions, tout comme les citoyens opprimés du printemps Arabe. Nous vivons dans un pays où tout est possible et de manière pacifique. Ensemble, exigeons la démission du gouvernement actuel et votons par référendum sous surveillance de l'ONU. Un référendum pour quitter le système politique constitutionnel actuel du Canada qui ne sert guère nos intérêts. Lorsque nous seront finalement devenu maître de notre pays, alors en citoyen responsable nous élirons un gouvernement dans un système politique selon nos valeurs et préoccupations communes.
Extrait de L'autre Amérique: la pauvreté aux États-Unis de Michael Harrington; Être pauvre, c'est être étranger dans son propre pays, c'est participer d'une culture radicalement différente de celle qui domine la société normale.
Maintenant, pour être exact selon ma vision du Québec moderne que je désire, voici ce qui serait favorable à notre épanouissement comme société. Présentement, nous participons à une culture qui n'est pas la nôtre, la culture canadienne qui diffère de nos réelles aspirations et besoins. Cette culture est différente et ne respecte pas nos valeurs comme peuple québécois, elle domine nos valeur et met un frein au développement des valeurs normales québécoises. Tant que nous seront étrangers dans ce pays le Canada alors nous resteront radicalement pauvre comme nation. La richesse d'un peuple se résume par la liberté de décider chez soi dans son propre pays du destin de ces citoyens. Comme par hasard, à quoi bon attendre que Jean Charest décide pour nous de notre destin mutuel sans même nous consulter.
Bref, il est temps d'agir. C'est dans l'action que de grands peuples se sont révélés à la face du monde, alors Vive, vite le Québec libre et non pas dans dix ans, mais maintenant en 2011-2012.