samedi 28 février 2009
Montréal vue des aires, la marche en montagne en pleine ville
mercredi 25 février 2009
Plus de 100 000 jobs d'ici 2015
Potentiel pétrolier et gazier du Québec pour plus de 20 ans, retombé économique de plus de 40 milliards de dollars
Les bassins sédimentaires du Québec propices à la découverte d’hydrocarbures couvrent une superficie de plus de 200 000 km2. Ce territoire s’étend de la frontière avec l’Ontario jusqu’à celle de Terre-Neuve et du Labrador dans l’axe du fleuve Saint-Laurent.
lundi 23 février 2009
Les Québécois sont propriétaire d'un levier économique, Hydro-Québec
mardi 17 février 2009
Planètes habitables à 30 années lumières???
Texte de: Jean-Louis Santini
«Il existe une douzaine de systèmes solaires comparables au nôtre à une distance d'environ 30 années-lumière ou moins et je pense qu'un bon nombre de ces étoiles, peut-être la moitié, ont des planètes comme la Terre orbitant autour», a expliqué ce week-end Alan Boss, un astrophysicien de la Carnegie Institution for Science.
Le chercheur estime surtout qu'il est certain que des formes de vie se sont développées sur certaines de ces planètes.
«Si vous avez un monde habitable que vous laissez évoluer pendant quelques milliards d'années, il est certain qu'une forme de vie va se développer», explique le chercheur qui intervenait dans le cadre de la conférence annuelle de l'American Association for the Advancement of Science (AAAS) réunie à Chicago (Illinois).
«Je ne parle pas d'une planète avec (une forme de vie) intelligente, mais je dis que si vous avez un monde habitable qui tourne autour d'une étoile pendant 4, 5, 10 milliards d'années, comment pouvez-vous (imaginer) arrêter la vie ?», a souligné le chercheur. «Pour le moins nous aurons des microbes», a-t-il ajouté.
Raymond Jeanloz, professeur de science planétaire et d'astronomie à Université de Californie à Berkeley, a abondé dans ce sens estimant qu'au regard de ce que nous ont appris les micro-organismes fossiles sur terre, la présence «d'une forme de vie» sur certaines de ces planètes est «inévitable».
Sur la question de civilisations extra-terrestres, Alan Boss a estimé que «c'était une recherche intéressante et importante même si les probabilités d'en trouver sont très faibles».
Mais «si on trouve quelque chose ce sera une gigantesque découverte faisant que ça vaut la peine de continuer à chercher», a-t-il ajouté.
Les distances --une année-lumière équivaut à la distance parcourue par la lumière en un an à savoir 9.460 milliards de kilomètres-- qui nous séparent de ces planètes nous empêchent de les atteindre en l'état actuel des technologies humaines.
Mais elles peuvent être observées de loin et Alan Boss est convaincu que le télescope spatial américain Kepler, première mission de la Nasa capable de trouver des planètes de même taille que la notre devant être lancée le 5 mars, tout comme le satellite franco-européen Corot mis en orbite en 2006, finiront par trouver des planètes comme la Terre.
«Je serai absolument ébahi si Kepler ou Corot ne découvraient aucune planète terrestre car fondamentalement nous en trouvons déjà», a-t-il lancé.
Corot a découvert la plus petite des exoplanètes jamais observées à ce jour - près de deux fois le diamètre de la Terre - très proche de son étoile et très chaude, avaient annoncé des astronomes début février.
«En fait il y a beaucoup de planètes de type terrestre faisant que Kepler et Corot nous indiqueront où elles se trouvent, permettant de construire la prochaine génération de télescopes spatiaux capables de prendre des images directes», a poursuivi l'astrophysien auteur de plusieurs ouvrages sur le sujet.
«Nous pourrons ainsi détecter la lumière émise par ces planètes et s'il y a du méthane et de l'oxygène dans leur atmosphère, ce qui serait une solide preuve, non seulement qu'elles sont habitables, mais qu'elles sont aussi habitées» de formes de vie, a-t-il affirmé.
samedi 14 février 2009
Devons-nous encore laisser des cons voter pour un singe???
Publié dans cyberpresse par Mario Roy
C’est désespérant, la démocratie, je sais bien. Parce que les gens ne votent pas toujours comme il faut. Tenez, en France, par exemple. Lors de la présidentielle de mai 2007, les gens n’ont pas voulu obéir aux esprits éclairés qui, eux, savent ce qu’il faut faire et ne pas faire. De sorte qu’ils ont voté à hauteur de 53 % pour un “petit singe”. Pour un “p’tit con”. Bref, pour Nicolas Sarkozy. C’est le patriarche et virtuose de l’humour français, Guy Bedos, qui le rappelle avec pertinence (dans Le Devoir ).
Bedos se produit à la Place des arts, dans quelques jours, et ce sera sans doute excellent.
En plus, il a trouvé une solution, pour la démocratie. Il explique (à Radio-Canada) : “Il y a des permis de chasse, de pêche, de conduire. Pourquoi pas un permis de voter, avec un petit examen avant ? Les gens ne sont pas tous prêts à voter”.
C’est une grandiose idée.
Comme ça, on pourrait deviner dans quel sens les gens s’apprêtent à voter et interdire l’isoloir à ceux qui, visiblement, n’ont rien compris. (C’est une méthode qui a d’ailleurs été adoptée sous diverses formes dans quelques pays et qui a très bien fonctionné: on n’y voyait jamais, jamais, d’erreurs électorales.)
Ainsi, à la dernière présidentielle, on aurait pu écarter ceux qui ne prisaient pas Ségolène Royal et donc éviter l’entrée d’un “petit singe”, d’un “p’tit con”, à L’Élysée.
Ce serait ça, une vraie démocratie.
Je suis sûr qu’au Québec, plusieurs seront d’accord avec Guy Bedos.
vendredi 13 février 2009
mercredi 11 février 2009
Oncle George en dessin animé
Un personnage marquant de l'humour québécois pourrait bientôt être adapté en dessin animé. Daniel Lemire participe à un projet télé de série animée sur Oncle Georges, son clown désabusé et irrévérencieux.
Même si le projet est avancé, rien n'est confirmé, précise-t-il. «J'ignore si ce sera en ondes l'année prochaine, dans deux ans ou si ça n'aboutira jamais. On se croise les doigts, faudra voir.»Lemire y travaille depuis déjà quelque temps. Il prêterait évidemment sa voix au personnage. Quant à l'écriture, il se contenterait de la superviser. Les principaux scénaristes sont Jean-Pierre Plante (Broue) et Daniel Chiasson (Bob Gratton: Ma vie, my life). Le producteur est Yves Saint-Gelais (Et Dieu créa...Laflaque).
«Comme je n'ai pas écrit les textes, je peux me permettre de le dire: c'est vraiment drôle, assure-t-il. L'approche ressemble un peu à celle de Family Guy ou des Simpson. Le plaisir avec le dessin animé, c'est que l'imagination n'est pas vraiment limitée par le budget. Tout est possible. Si on veut faire sauter Oncle Georges d'un avion ou l'envoyer sur un autre continent, ça ne coûte pas plus cher.»
lundi 9 février 2009
Découverte d'un nouveau système solaire avec trois planètes
Source du texte: gouvernement du canada;
Recourant à des télescopes très puissants, l'équipe a ensuite identifié trois planètes plus grosses que Jupiter gravitant autour de l'étoile HR 8799, située à 130 années-lumière de la Terre, dans la constellation de Pégase. Cette étoile est à peine visible à l'oeil nu.
« Depuis une dizaine d'années, nous savions, par des méthodes indirectes, que le soleil n'est pas le seul astre autour duquel tournent des planètes », a expliqué M. Marois, de l'Institut Herzberg d'astrophysique, à Victoria (C.-B.). « Nous avons finalement réussi à saisir une véritable image d'un système solaire entier. Il s'agit d'un jalon dans la quête de systèmes planétaires orbitant autour des étoiles. »
HR 8799 - cette étoile se trouve à 130 années-lumière de la Terre, dans la constellation de Pégase et, bien que faible, est visible à l'oeil nu.
Un groupe d'astronomes canadiens, américains et britanniques ont recouru aux télescopes Gemini Nord et Keck, au sommet du Mauna Kea, à Hawaï, pour capter les clichés infrarouges des planètes. La nature des photos a été confirmée grâce à des appareils et à des technologies de traitement de l'image évolués.
HR 8799 a environ 1,5 fois la masse du soleil. L'étoile brille néanmoins beaucoup plus et est nettement plus jeune. Les astronomes estiment qu'elle n'a qu'environ 60 millions d'années.
« Voir une image montrant non pas une mais trois planètes est sidérant », a déclaré Bruce Macintosh, un scientifique du Lawrence Livermore National Laboratory, qui collabore au projet. « La découverte du système HR 8799 est une étape capitale sur la voie qui nous conduira à la photographie d'une deuxième Terre. »
Le but ultime des astronomes est en effet de produire des images et des relevés spectroscopiques de planètes de type terrestre. Pour y arriver, il faudra cependant des télescopes spatiaux particuliers, dont on n'a même pas encore commencé à tracer les plans.
Pour visioner des images de cette découverte, veuillez consulter :www.gemini.edu/threeplanetart.
vendredi 6 février 2009
Esclave oui, mais dans une démocratie Monsieur...
Et nous citoyen du monde libre, nous sommes des soldats, esclave de notre liberté virtuelle et surtout, il n'y a plus de place pour les troubles fêtes séparatistes du Québec, Harper, Sarko, Obama, et plusieurs autres valets de pique ont tout intéret que le duché du Québec reste sous domination des Desmarais et ces amis, voir mon papier sur l'eau le nouveau pétrôle de l'économie
Texte à lire sur le site brilliant de Gaétan Pelletier:
Je trouve Son texte génial, j'avais déjà eu des idées sur cette manière que Gaétan nous explique sur les démocraties modernes, voir la dernière guerre mondiale; c'est comme une sorte de nouvelle bourgeoisie comme celle de paris d'avant la révolution française, mais seulement, c'est qu'aujourd'hui les rois sont méconnues et ils tirent les ficelles des nouveaux bourgeois par la bourse, l'argent est le pouvoir, parfois lorsqu'un bourgeois prend trop de place, au lieu de lui couper la tête, ils (les rois) le ruinent tout simplement, soit par un scandal inventé, ainsi de suite, vraiment, son texte, c'est un tour du chapeau... et j'ai mis son lien à lire c'est une bombe d'explication brillante:
Le tout petit caporal de mes deux...
La France a hérité d'un ignorant et imbécile comme président, d'une marionnette qui répète ce que veut entendre Paul Desmarais son mécène du Canada, C'est pitoyable ou va la démocratie, elle est mené par des milliardaires sans scrupule, qui se permet de lever le nez sur un peuple qui depuis plus de 400 ans se bat pour sa survie en amérique du nord.
Texte: Lise Payette, Le Devoir;
Je suis devant ma télé. J'attends de voir mon bien-aimé Jean Charest se boursoufler de bonheur devant les honneurs qui vont lui être décernées par le président de la France. Les salons de l'Élysée, ce n'est pas rien pour un petit gars de Sherbrooke, et je sens mon premier ministre flotter sur un nuage, un sourire béat sur le visage.
Le «Petit Caporal», celui que les Français appellent «Sarko», va parler. Il se tortille et il grimace comme il le fait d'habitude, mais il en rajoute comme le ferait un personnage de Molière dans une mauvaise mise en scène. Il nous ressert la fameuse cassette de l'été dernier, lors de sa visite éclair à Québec, en route vers les États-Unis où l'attendait, croyait-il, son moment de gloire. Il a encore une fois les deux mains dans nos affaires de famille, tripotant l'identité québécoise pour l'arranger à la sauce Desmarais. Il affirme en grimaçant, espérant sans doute faire passer un peu mieux l'énormité de ce qu'il va déclarer, que nous, les Québécois, nous sommes sa famille et que les Canadiens sont ses amis. Que l'heure n'est pas à la détestation et blablabla... Je me dis, en l'écoutant, que cet homme n'a aucune idée de ce qui s'est vécu ici depuis 400 ans. Qu'il dise des choses stupides en les signant Sarkozy, c'est son droit le plus strict, mais qu'il les dise au nom du président de la France, alors qu'il est en fonction, c'est une énormité impardonnable. Je pense que quelqu'un va intervenir, profiter du moment pour remettre la pendule du président à l'heure, trouver la formule qui va corriger immédiatement l'affront qu'il vient de nous faire pour la deuxième fois en peu de temps, mais personne ne bouge. C'est alors que je comprends que Jean Charest va devenir un héros. Il va très calmement et avec dignité refuser la Légion d'honneur. Il va choisir son peuple au lieu de la médaille. Il va afficher son courage et son identité. Il va remercier la France et le président pour tout ce que nous leur devons, mais il va afficher sa fierté d'être Québécois et il va prendre tout son peuple malmené par le président Sarkozy sous son aile parce qu'il est son chef, et que c'est pour ça qu'il est notre représentant. Il va se tenir debout. Et il va pouvoir rentrer au Québec la tête haute, laissant les Français démêler leurs sentiments entre eux en dehors de notre présence. Sarkozy passe la médaille au cou de Jean Charest. J'ai envie de pleurer. J'ai honte de voir que Paul Desmarais applaudit. Jean Charest se fait tout petit pour être à la hauteur de Sarkozy et je sais que s'il rougit, ce n'est pas de honte, mais de plaisir. Si au moins il avait profité du moment pour dire ce que nous sommes, les luttes que nous avons menées pour survivre et celles d'aujourd'hui sans aucune garantie de survie même après tous ces siècles. Il a semblé dire qu'on ne corrige pas le président de la France. Je crois qu'il fallait le faire, au contraire, et en assumer les conséquences. Ce président qui n'aime pas la «détestation» a réussi à faire sortir pratiquement toute la France dans la rue, contre lui, il y a moins d'une semaine. Et cet homme donnerait des leçons aux autres? Je n'ai pas pu m'empêcher de me demander ce que René Lévesque aurait fait dans les mêmes circonstances. Il se serait sûrement tortillé, car lui aussi il avait cette caractéristique. Il aurait fait quelques grimaces, mais je suis convaincue qu'il aurait défendu son peuple avec des mots que Sarkozy aurait compris. Et plus jamais ce président ne se serait permis de donner des leçons aux Québécois quant à la façon de mener leurs affaires. Il s'est conduit comme un malappris, et je crois que Lévesque le lui aurait dit. Quant à Jean Charest, c'est un cas désespéré. Il avait tout en main pour expliquer les relations Québec-Canada à son ami «Sarko», lui à qui Ottawa vient de servir une gifle mémorable dans son dernier budget. Il a choisi le mauvais camp, comme d'habitude. Il a choisi de ne déplaire ni à «Sarko», ni à Desmarais surtout. Sans doute parce qu'il en attend encore quelque chose. J'ai fermé ma télé. J'avais quelque chose comme un mauvais goût dans la bouche. L'impression d'avoir été trahie par un premier ministre qui aurait dû me défendre. Dommage.
mardi 3 février 2009
Il y a deux catégories de Terriens, ceux qui ont soif et faim et ceux qui ne manquent de rien.
Il y a ceux qui sont sans avenir car ils ont soif. Et quand l'eau est disponible, elle les tue. Plus de 1 700 morts et 30 000 personnes sont touchées par le cholera au Zimbabwe en six mois. Ceux qui se douchent quotidiennement mesurent-ils leur privilège actuel?
Alors que ceux qui sont obsédés par la recherche quotidienne de la nourriture n'ont pas le temps et ne sont pas en mesure de se préoccuper d'un futur, ceux qui peuvent penser au long terme ont une lourde responsabilité.
LA DÉFENSE DE L'OR BLEU
Ils en prennent conscience. Un exemple le prouve: la tenue d'une conférence euro-méditerranéenne sur l'eau, au niveau des ministres, le 22 décembre dernier en Jordanie.
33 pays d'Europe et du pourtour méditerranéen réunis pour une déclaration définissent les principes d'une future stratégie commune de gestion de l'eau dans leurs pays et y associant la société civile représentée par des associations.
Ce mode de gouvernance n'isolant plus les élus dans leur bulle de légitime représentativité est en train de se réaliser. Autant les Parlements sont indispensables, autant il est sage de faire s'exprimer et participer d'autres structures démocratiques. Les associations sont en première ligne, toujours très motivées et de plus en plus professionnelles.
À y regarder de près, ce besoin d'eau amène la sagesse dans les têtes. Il permet aux pays de dépasser ce qui les sépare, de se consacrer à la défense de l'or bleu, tellement vital. La Jordanie et Israël sont même parvenus à aborder ensemble un projet de canal qui relierait la Mer Rouge et la Mer Morte.
Jamais notre planète Terre n'a pris autant d'importance. Elle est devenue «un patrimoine menacé». En réalité, ce n'est pas elle qui l'est mais ses occupants. Bien sûr, nous avons besoin d'être rassurés, de ne pas céder à la peur de l'An Trois mille et cela même si les signaux sont au rouge. La peur ne résout rien. C'est d'ambition dont il faut se doter. Celle de faire passer les signaux au vert. Plus facile à dire qu'à faire. La liste des constats négatifs est longue et de plus les crises financière et économique se greffent sur la crise écologique.
EROSION DE LA BIODIVERSITÉ
Le dérèglement climatique lui-même a du mal à rester présent dans l'opinion quand localement un hiver froid survient. C'est que l'explication est à refaire. Quant à l'érosion de la biodiversité...
Peut-être bien qu'en défendant bec et ongles quelques espèces emblématiques (éléphants, baleines et autres mammifères, par exemple) nos associations n'ont pas été comprises de la société qu'elles voulaient toucher. Maintenant qu'elles élargissent leur communication à la défense des insectes pollinisateurs, ou des micro-organismes, bactéries du sol, par exemple, si indispensables aux récoltes fournissant l'alimentation humaine, même les citadins souvent très éloignés de la nature et pas trop au fait de son fonctionnement, peuvent réaliser combien la nature est précieuse.
La conclusion à tirer est peut-être que, pour défendre une espèce, il est nécessaire de les défendre toutes et cela sera profitable à l'humanité qui, de ce fait, voit que son intérêt est de défendre le vivant dans toute sa biodiversité.