Il y a eu les émeutes contre la hausse du prix du pain en Égypte, la révolte de la tortilla au Mexique, les protestations de la faim en Haïti, en Côte-d'Ivoire et aux Philippines. Et maintenant? Neuf mois après l'explosion d'une crise qui a eu des répercussions sur toute la planète, 963 millions de personnes souffrent toujours de la faim. Due à une combinaisonde facteurs-sécheresses, spéculation, production massive de biocarburants-la crise frappe plus cruellement les pays pauvres, où elle est accentuée par la corruption et les guerres. Même si une nouvelle crise, financière cette fois, a propulsé les cours des aliments à la baisse, la planète comptera bientôt un milliard de ventres creux. Les pays riches utilise du mais, du riz, des céreales pour produire du méthanol, cette nouvelles forme d'énergie affame le tier monde et nous collectivement, passivement regardons le train passer... Un humain sur sept ne mange pas à sa faim, d'ici dix ans se sera bientôt un sur cinq, peut-être plus... Que pouvons-nous faire comme moyen ou action? Certaines actions telques; acheter des aliments locaux, l'offre et la demande augmente le prix des matières premières, si nous consommons moins de produits des pays pauvres les prix vont chuter et chez eux, ils pourront en bénificier, alors des produits à prix abordable resteront dans leurs pays. Les pays riches achètent tout les produits dans des pays tiers mondistes et nous les citoyens les achetons à notre tour, cessons d'en consommer et les chaines d'alimentations cesseront d'en acheter à leurs tour ainsi de suite....
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